Marcel Delcroix - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Delcroix



Naissance : 14 aout 1897 - Wattrelos (59)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Affectation principale : Résistance intérieure / Kléber

Homologué FFC et DIR

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 46 ans - 17 septembre 1943 - Dortmund, Allemagne

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 169397


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Questionnement ? Précision ? Rectification

"C. Maertens Epoux Delcroix petite fille d'un frère de Marcel Delcroix. En cour de recherche sur André Delcroix fait prisonnier le 28 Mai 1940 soit quelques jour avant son Oncle."

Je suis la petite fille de Léon Delcroix,(par ma mère) frère de Marcel Delcroix et je n'ai qu'une cousine Madelyne Delcroix (fille d'André Delcroix)- Marcel Delcroix n'avait pas d'enfants.

Je ne comprends donc pas ce commentaire de C. Maertens ??

Je n'ai pas d'infos précises sur les faits de guerre de mon oncle, André Delcroix (décédé en janvier 1989)

STAES le vendredi 18 octobre 2019 - Demander un contact

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Un réseau belge du Nord : Ali-France.
Etienne Verhoeyen

Laurent Laloup le lundi 04 février 2019 - Demander un contact

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Un réseau belge du Nord : Ali-France.
Etienne Verhoeyen

Laurent Laloup le lundi 04 février 2019 - Demander un contact

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Parfait

Voici une contribution parfaite. L'information est claire et précise et bien détaillée. Il ne reste plus qu'a trouver les actions auxquelles a participer Marcel Delcroix dans le réseau Kleber.
C. Maertens Epoux Delcroix petite fille d'un frère de Marcel Delcroix. En cour de recherche sur André Delcroix fait prisonnier le 28 Mai 1940 soit quelques jour avant son Oncle.

Maertens le lundi 21 août 2017 - Demander un contact

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"DELCROIX Marcel
Pseudonymes: BENJAMIN, CAVIAR ET STURGEON

Né le 14 août 1897 à Wattrelos (Nord) de Achille Delcroix et de Elisa Rysman Epouse: Raymonde, Louise Foulon Profession: menuisier Décédé le 17 septembre 1943 à Dortmund

Réseaux: S.S.M.F./T.R., S.R. Kléber, AliFranceAgent P2

Marcel Delcroix n'avait que dix sept ans quand, s'étant évadé des régions occupées, en 1915, il a rejoint Boulogne, par la Hollande puis l'Angleterre, et s'est engagé pour la durée de la guerre. (15e régiment d'artillerie de Douai). C'était un grand jeune homme de 1m8O, aux yeux bleus. Campagne de France, campagne d'Italie, gazé en 1918, sa conduite lui valut la Croix de Guerre.
La paix revenue, jeune marié, il dirigeait une entreprise de menuiserie dans sa ville natale, Wattrelos.
Mobilisé en 1939 (12e régiment régional de Lille, 12e compagnie), il fut à nouveau décoré de la Croix de Guerre et cité à l'ordre de la Division. Fait prisonnier le 4 juin 1940 à Dunkerque, avec son chef, le capitaine Marc Richardot, il faussa compagnie à ses gardiens et rentra chez lui, cette fois en Belgique, 150 chaussée de Dottignies, à Estaimpuis.
Les documents d'archive le concernant laissent penser qu'il entre dans la clandestinité sans attendre, mais c'est un homme très prudent, qui ne fait pas étalage de ses faits et gestes devant les personnes qu'il côtoie et a sans doute même recrutées. Un de ses hommes dira après la Libération: "Marcel a emporté en mourant tous ses secrets...Nous ne savons même pas encore quel était le réseau qu'il commandait et, comme les absents ont toujours tort, les survivants veulent s'accaparer son travail."
D'après un formulaire rempli par Mme Delcroix en 1946, on sait qu'il travaille très tôt dans le Nord de la France pour le réseau AliFrance (service de renseignements interallié); il est cofonfateur (avec J. Dubar, Paul Joly et J. Verbert) de ce réseau d'évacuation vers la zone libre. Chef de secteur et agent de renseignement, il est domicilié 5 rue Pasteur à Wattrelos à partir de juillet 1940.
Dans un certificat délivré en 1946, il est dit "fondateur du mouvement Action 40 Résistance Nord, ayant participé à la formation de groupes Corps Francs dans la région du Nord et en Belgique (frontière belge), en liaison avec Bruxelles, liaisons par Madrid avec Londres, liaisons avec Châteauroux - passage en zone libre de soldats alliés et français, officiers et hommes; renseignements militaires, formation d'une ligne (filière?); récupération d'armes et de munitions, etc."
Ces faits sont également attestés par le Dr. Guislain, officier liquidateur du mouvement Action 4O. Ce dernier cite les "gens du mouvement connus dans la clandestinité": le colonel Manhés, MM. Barré, Bourquillon et L. Cassette, de Roubaix, M.Masselin et de Herseaux en Belgique, Dhellemmes, de Douai, Chequi, de Lens, Spriet, de Tourcoing, Guévart, Droguet, Lerat, G. Boom, Bauvers, R. Delaval, H. Bossut, R. Bourel, Laveau, Hellinch, J. Delvallée, Mlle Nelly Devienne.
Dans ce mouvement, le pseudonyme de Marcel Delcroix aurait été "Caviar et Sturgeon".
Georges Raepzaerdt, boulanger pâtissier à Roubaix, recruté par Marcel Delcroix, rapporte les activités qu'il connaît:
"Delcroix, agent S.R., alias Benjamin, était en correspondance avec Mme Perrusson, domiciliée Clos Garnier par Saint Bauld (Indre et Loire), avec M. Péon, curé de Drache, avec M. Goupil, médecin vétérinaire à La Haye des Cartes (probablement Descartes en Indre et Loire), qui faisaient parvenir les renseignements à .M. Maurice Garçonnet, hôtel des Faisans à Châteauroux. Le courrier était expédié par moi-même, sous le nom de Cousin Paul, et les papiers authentiques étaient expédiés aussi à M. Maurice Garçonnet. Nous avons d'ailleurs expédié un viseur de nuit de Messerchmitt 110, récupéré sur un avion allemand abattu et apporté à Delcroix. Il était en outre en relations étroites avec Georges Bodin au Bois d'Aix, commune d'Abilly, père de neuf enfants et fusillé sur place par les Allemands."
Les faits seront exprimés de façon plus claire par le commandant Husser, chef du Poste P3 A de Châteauroux, rattaché au réseau Kléber, qui écrit (1947): "Marcel Delcroix a été recruté par moi en 1940 (agent P2 à partir de novembre 1940), comme passeur de prisonniers alliés et français évadés. Dès le début 1941, il a été invité à cesser le métier de passeur pour se consacrer uniquement à la recherche de renseignements." Ses capacités sont soulignées par le commandant Husser qui cite, parmi ses résultats "bien au dessus de la moyenne habituelle..., le mérite insigne de pénétrer entre autres:
- à la S.N.C.F. de Lille, pour fournir tous les TCO secrets avec identification et les documents se rapportant au rapt de nos ressources locales;
- au GQG du XV AOK, pour fournir des documents secrets d'une valeur inestimable sur l'identification, la composition, la valeur des grandes unités de cette armée.
C'est grâce à lui, dit-il, que nous avons obtenu les premiers renseignements par documents secrets sur le dénouement de la campagne de Russie; en particulier, il nous a fourni une étude sur les enseignements à tirer et leçons à retenir de la campagne en Ukraine, faite par le service de l'Intendance, de Santé et Vétérinaire."
Et il conclut ainsi: "En résumé, Marcel Delcroix a été un de mes agents les plus valeureux. Il est tombé dans les griffes de la Gestapo, non par faute professionnelle, mais par la découverte d'un organisme de propagande où il était allé relever des tracts."
Marcel Delcroix est arrêté par la Gestapo (ou la gendarmerie allemande) le 4 (ou le 2) mai 1942, à son domicile (à Estaimpuis en Belgique, d'après un document du Bureau "Résistance" et des documents allemands), puis interné à la prison de Loos jusqu'au 22 octobre 1942. Il est ensuite à la prison de Saint Gilles jusqu'au 10 novembre 1942. Déporté à Essen, Bochum, puis Dortmund, il est jugé au cours des séances des 13 et 14 avril 1943 par le tribunal du Peuple, 2e Sénat, avec quinze autres accusés, dont Robert Delaval. Les documents du tribunal révèlent ce que les Allemands savent ou croient savoir, car de telles sources sont toujours à prendre avec une extême circonspection. Voici un extrait de ces textes allemands:
"En 1941, en France du Nord et en Belgique se sont constitués des mouvements de résistance dans le but d'aider les troupes anglaises et gaullistes débarquant sur la côte atlantique à chasser les troupes allemandes.
Des groupes de résistants furent formés et l'on fit des plans pour se procurer des armes.
Des tracts furent imprimés et diffusés pour préparer la population à la lutte et la gagner à la cause: exemples "La Libre Belgique" et "La Voix de la Nation" en France du Nord.
Delcroix, âgé maintenant de 45 ans, marié, citoyen français, a suivi les cours d'une école industrielle et a été propriétaire d'une entreprise de construction à Estaimpuis en Belgique, près de la frontière française.
En août 1941, il fit connaissance, au café Baré de Roubaix, du nommé Delaval et prit part à la formation d'un groupe de résistance gaulliste. Il assurait la liaison entre Delaval et la nommée Devienne, qui réalisait la feuille dénommée "La Voix de la Nation".
Il se rendit par deux fois à Bruxelles avec Delaval et Varrasse pour des entretiens avec Van Dorre et Van Gute qui appartenaient à l'organisation de Résistance de Bruxelles.
Fin 1941, il apprit que le professeur de mathématiques Van Comelbeke, d'Estaimpuis, détenait un appareil émetteur radio abandonné par les troupes belges lors de leur retraite; il demanda à Van Comelbeke de le lui remettre et le mit en dépôt chez le nommé Henneuse (de Roubaix).
Par deux fois il reçut de Delaval des rouleaux de papier contenant des renseignements à caractère politique et économique.
Il s'était présenté à Delaval comme officier du 2e Bureau.
Fin 1941, Lavaud apprit d'un correspondant qu'il avait mis au point un modèle de torpille et qu'il avait montré ses plans au ministère français de la Guerre à Paris début mai 1940. N'ayant pas reçu de réponse des Français, par suite des événements, il cherchait à vendre son invention. Lavaud en fit part à Paul Deltête qui se présenta avec Delcroix au bureau de Lavaud. Delcroix affirma en présence de l'inventeur qu'il avait la possibilité de faire vérifier si les Anglais étaient déjà en possession du brevet de cette torpille. Il se fit donner les numéros des documents enregistrés au ministère de la Guerre et les nota sur une feuille de papier. Puis il les donna à Delaval."
Jugé pour "espionnage et complicité avec l'ennemi", Marcel Delcroix est condamné à mort et décapité le 17 septembre 1943. Ses cendres seront rapatriées en 1948 et une inhumation aura lieu au cimetière de Rouges- Marcq-en -Baroeul.
Il sera fait chevalier de la Légion d'Honneur et recevra la Croix de guerre avec palme et la Médaille de la Résistance. Le gouvernement belge lui a décerné la Médaille commémorative de la guerre 1940-1945 et l'a nommé chevalier de l'Ordre de Léoplod II avec palme.

Citation: "Agent de renseignement en territoire occupé. Résistant de la première heure, animé du patriotisme le plus fervent, très actif, a fait évader de nombreux Français et alliés. A entraîné dans la voie de la Résistance de nombreux Français. A été un bon agent de renseignement. Arrêté, déporté, a été condamné par le tribunal de Bochum le 16 avril 1943 à la peine de mort. Est disparu depuis cette date."

Jacques Ghémard le mardi 06 septembre 2016 - Demander un contact

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"DELCROIX Marcel M 14/08/1897 Wattrelos (59) F Bo,Dmd DCD * 17.09.1943 Dortmund "* Exécuté ; ""NN""""

Jacques Ghémard le mardi 06 septembre 2016 - Demander un contact

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www.memorial-genweb.org 

" Roubaix

Boulevard Gambetta « Français souviens-toi. Ici le 3 mai 1942 17 patriotes du réseau Action 40 ont été arrêtés par l'ennemi. Morts pour la France » "

Laloup Laurent le vendredi 29 mai 2009 - Demander un contact

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delmax.free.fr 

"... Encore faut-il évacuer les militaires vers la Grande-Bretagne. Et dans ce domaine comme dans d'autres, les services secrets britanniques en sont encore à la préparation d'une action systématique sur le continent. Toujours est-il qu'on sait assez vite dans le Nord qu'il existe des possibilités à Marseille. Un évadé du camp de Rexpoède, Marcel Delcroix, petit entrepreneur de Wattrelos, a vaguement entendu parler du Fort Saint-Jean près de Marseille vers lequel on pourrait guider les soldats alliés et d'où, paraît-il, il n'est pas difficile de s'évader (8). De plus, depuis l'automne 1940 fonctionne à Marseille une antenne du M.I.9, le service britannique qui s'occupe d'évasions. C'est par Delcroix, qui connaît Charles Dubar, frère de Joseph, depuis avant la guerre, que Joseph Dubar est mis en rapport avec Cécile Hermey, enseignante à Roubaix qui connaît l'anglais. Pendant les vacances de Noël 1940, elle accompagne deux soldats anglais recueillis à Hem jusque Marseille. Là, par un soldat qu'elle a aidé dans le Nord en 1940, elle est mise en rapport avec le capitaine écossais Murchie de l'Intelligence Corps. Celui-ci est à son tour en rapport avec le capitaine Ian Garrow, qui animera bientôt la filière connue sous le nom de Pat O'Leary, et avec le Pasteur Donald Caskie de la Church of Scotland, qui gère, dans la rue Forbin, la Maison anglo-américaine du Marin. Revenu à Roubaix, Cécile Hermey communique immédiatement ce tuyau à Dubar, qui dispose ainsi d'un « débouché » qu'il utilisera jusqu'en juillet 1941..."

Laurent Laloup le samedi 21 juin 2008 - Demander un contact

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www.ville-wattrelos.fr 

" Une ville de résistance

Face à cette situation, une poignée d’hommes et de femmes, dont l’audience va s’élargissant, espère. Mieux : elle agit. Ce sont les Justes qui feront de Wattrelos une terre de résistance reconnue, l'un des poumons pour le nord de la France.

La première tâche consiste à sauver et rapatrier les nombreux soldats alliés ou les aviateurs. La rapidité de la victoire allemande a en effet laissé à Wattrelos et alentours des soldats anglais isolés sans contact avec leur unité. Les héberger, les cacher et favoriser leur rapatriement est la priorité du moment. C’est également, le premier geste de Résistance. Un travail très risqué : dès mars 1941, Jeanne Huyghe, recherchée par la Gestapo, est contrainte à l’exil, mais pas ses complices Henri Vauban et Berthe Spriet qui sont arrêtés. Grâce à eux, plusieurs centaines de soldats britanniques parviennent à rejoindre l'Angleterre en passant par l'Espagne puis Gibraltar.

Le flambeau est repris par Marcel Delcroix, du réseau Ali France, et son groupe, notamment Madeleine Bény-Masure, Edouard Blomme, Hubert Quesnoy, Georges François, Henri Vandesype, Alfred Vanhecke, Marie Coppens-Barbieux… Ils participent à la formation et au fonctionnement de ce qui deviendra, dans la région Nord, le réseau international du Docteur Albert Guerisse, alias le lieutenant commander Pat O’Leary.
...
Ces actions répétées, couronnées de succès, font des membres du réseau Sylvestre Farmer des cibles prioritaires de la Gestapo. Elle promet un million de francs à ceux qui les dénoncent. Trahison ou pas, la répression ne tarde pas à s'abattre : le 27 novembre 1943, le capitaine Michel et sa compagne Denise Gilman sont abattus par les Allemands au 20 boulevard de Belfort à Lille. Paul Cousaert, cheminot au Sapin Vert, est arrêté le 22 décembre. Torturé, déporté, il meurt au début de l’année 1945. Alfred Vanhecke et Emile Dubocage tombent le 12 janvier 1944 ; le douanier Maurice Deghouy le 14 février. Tous décédés dans les mêmes conditions. Georges Philippot, livré par un gendarme français aux Allemands, est fusillé le 16 août 1944. Il faut aussi rappeler la mémoire de Claude Weppe et de Georges Seghers, ainsi que celle de Jean Vanhuyssen, mort en déportation."

Laurent Laloup le mardi 28 août 2007 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 586919 | VAUBAN (Henri) | 1897-09-22 | Roubaix | Nord | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 6985 | ALEXANDRE épouse SPRIET (Berthe) | 1899-06-01 | Brécey | Manche | FRANCE | FFc RIF DIR
GR 16 P 584834 | VANDESYPE (Henri) | 1912-05-08 | Wattrelos | Nord | FRANCE | FFi DIR
GR 16 P 141418 | COPPENS épouse BARBIEUX (Marie Flavie) | 1898-12-18 | Wattrelos | Nord | FRANCE | FFi
GR 16 P 275211 | GUERISSE (Albert Marie Edmond) | 1911-04-05 | Bruxelles | | BELGIQUE | FFc
GR 16 P 256116 | GILMAN (Denise Irène Marguerite) | 1921-08-30 | Waziers | Nord | FRANCE | FFc FFi DIR
GR 16 P 148254 | COUSAERT (Paul Camille Jean) | 1921-12-27 | Wattrelos | Nord | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 193804 | DUBOCAGE (Emile Henri Achille) | 1912-07-16 | Roubaix | Nord | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 165321 | DEGHOUY (Maurice César Henri) | 1905-07-28 | Pont-à-Marcq | Nord | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 474530 | PHILIPPOT (Georges Paul) | 1911-01-22 | Iviers | Aisne | FRANCE | FFc FFi DIR 
GR 16 P 602513 | WEPPE (Claude Julien) | 1925-05-04 | Godewaersvelde | Nord | FRANCE | FFi DIR
GR 16 P 543101 | SEGHERS (Georges André) | 1910-02-28 | Mouvaux | Nord | FRANCE | FFc FFi DIR

Dernière mise à jour le vendredi 18 octobre 2019

 

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