André Colas - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Colas



Naissance : 26 avril 1902 - Faye-la-Vineuse (37)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en avril 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 62 ans - 14 novembre 1964 - Loudun (86)

Fils de Marie Andrée Bonneau 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 136250

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 11837


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Si je meurs, venge-moi : mémoires d'un agent de la Résistance

De Daniel Bouchet

GR 16 P 167470 | DELALANDE ( Henri Marie ) | 1891-02-26 | Rennes | Ille-et-Vilaine | FRANCE | FFc

Laurent Laloup le lundi 02 mars 2020 - Demander un contact

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"... Le groupe thouarsais de la CND fut décimé par la répression au cours du premier semestre de 1942. André Chauvenet fut arrêté le 21 janvier ; il sera rapatrié de Buchenwald en avril 1945. André Colas, arrêté le même jour, sera libéré en juin 1942. Le 10 février, la Feldgendarmerie arrêta le jeune Maurice Bonneau (né le 17 juillet 1921 à Thouars, maçon cimentier dans l’entreprise familiale) qui avait participé à des transports d’armes et aux liaisons avec la côte vendéenne. 
En dépit des menaces, Robert Delattre, Daniel Bouchet et Gabriel Richetta organisèrent dans la nuit du 27 mars 1942 à la Motte-Bourbon (Maine-et-Loire), une opération pick-up permettant le retour de Rémy et le départ pour Londres de Christian Pineau, co-fondateur de Libération-Nord. ..."

Maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr 

Laurent Laloup le dimanche 26 janvier 2020 - Demander un contact

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"Une épopée de la Résistance" Colonel Remy



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Laurent Laloup le dimanche 01 décembre 2019 - Demander un contact

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Si je meurs, venge-moi : mémoires d'un agent de la Résistance
De Daniel Bouchet

Laurent Laloup le lundi 17 décembre 2018 - Demander un contact

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" Le service de transmission radio de l’hôpital de THOUARS, les terrains d’atterrissage " Roi de Coeur " à ST LÉGER DE MONTBRILLAIS et de parachutage " Nick Pernod " à TOURTENAY, sont placés sous la seule responsabilité du docteur André COLAS alias " NICK ".

Ce dernier lieu est la propriété de Mr & Mme Maurice TOURET, demeurant à la ferme " Le Moulin ". Elle sert de refuge et de relais aux agents F.F.L., d’entrepôt de matériel et de poste de commandement, les nuits de parachutage.

Toute la famille est engagée dans cette action résistante à haut risque : la mère Alexandrine, son fils Maurice, l’épouse Eugénie, le jeune fils Maurice et deux autres enfants d’Alexandrine, Raphaël et Paul alias " LÉON ".

Le message qui annonce les parachutages a la particularité d’être diffusé par la B.B.C. pendant plusieurs semaines d’une façon identique, pour des raisons d’intempéries et de nuits sans lune : " Nous boirons un pernod à votre santé le... ". Suivant le code secret, il convient d’ajouter le chiffre 10 à la date annoncée pour obtenir le jour exact de l’événement. Mais l’ennemi ignore tout des particularités et des contre temps. Il en résulte un impact psychologique non négligeable : les Allemands redoutent des attentats contre les personnels de la Wehrmacht à PARIS et le Gouvernement de Vichy qui n’est pas en reste, s’attend à des opérations d’envergure !

En réalité, les 4 parachutages se déroulent dans des conditions normales, en apportant : le 02 août : 5 postes de radio, le 17 septembre : 4 postes, le 07 octobre : 7 postes et le 04 novembre 1941 le technicien radio Robert DELATTRE, muni de son propre poste. Il vient remplacer l’héroïque ANQUETIL, fusillé au Mont Valérien.

Les premiers postes livrés à " RÉMY " sont lourds, encombrants et logés dans des valises voyantes, marquées " Made in England " qui se prêtent mal aux déplacements fréquents de sécurité. Pierre JULITTE alias " GUY ", chargé de la réorganisation des transmissions clandestines, présente au Chef de l’Intelligence Service à LONDRES, un récepteur de sa fabrication, pas plus gros qu’une brique, qui permet à nos amis Anglais de miniaturiser progressivement leurs fabrications successives. C’est grâce à ces moyens de transmission rapide et secrète, que les services Britanniques peuvent porter des coups terribles à la KRIEGSMARINE, tant aux unités de haute mer, qu’aux sous-marins et aux bases de BORDEAUX, ST NAZAIRE & BREST.

Les équipes de réception des parachutages sont composées de : André COLAS, chef de terrain, Maurice TOURET, son épouse Eugénie, leur fils Maurice, un oncle Paul TOURET alias " LÉON ", Henri GOISLARD, André SARRAZIN et Georges GEAY, répartis suivant leur disponibilité.

Après la guerre, le Général de GAULLE écrira personnellement au chef de famille Maurice TOURET, pour lui témoigner sa reconnaissance.

Sources d’informations :
- Dr Daniel BOUCHET : " Mémoires de la Résistance " (non publié)
- C.R. : Communication des Résistants & familles
- Christian PINEAU : " La simple vérité " - 1983
- Colonel RÉMY : " Mémoires d’un agent secret de la France Libre " - 1946
T.1 (1983) - T.3 (1984)"

www.crrl.com.fr 

Laurent Laloup le samedi 18 octobre 2008 - Demander un contact

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"... A ses cotés il y avait son collaborateur le docteur André Colas, électro-radiologiste, qui fut un ami dans ses fonctions professionnelles mais aussi dans la résistance. Colas fut arrêté et relâché, il partit à l’étranger.
...
Nous avons hébergé l’émetteur de Radio Lhermitte qui a travaillé de longs jours durant dans le service médical du Dr Colas à l’hôpital de Thouars, puis chez Chudreau avant que nous l’ayons placé à Saumur par l’entremise de Decker (mort en déportation) où il a été arrêté en plein " travail ". Lhermitte a été exécuté. Il n’a pas parlé. J’ai servi à ce moment de boîte aux lettres terminale et initiale. Nous avons reçu des émissaires tels Maugé, Prince. La famille Richetta s’est comportée magnifiquement. S’est bien comporté aussi Gabriel Braud de Thouars.
...
Notre service du nord des Deux-Sèvres a organisé le premier centre effectif de parachutage dont j’ai donné le commandement technique au Dr André Colas qui l’a conduit avec un courage et une habileté remarquable.Le 21 janvier 1942, j’ai été arrêté pour la 2ème fois et conduit à Fresnes. Le même soir, Colas était arrêté. Il est resté en prison et il doit à un vrai miracle d’avoir été relâché."

www.crrl.com.fr 

Laloup laurent le vendredi 21 septembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 02 mars 2020

 

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