| | | | | Un Français Libre parmi 62914 | | | Albert Aaron Benjamin Cassin alias Denissac
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Albert Aaron Benjamin Cassin alias Denissac - son Livre ouvert ! " Albert Aron Benjamin CASSIN
Né le 12 novembre 1916
Décédé le 7 juin 1993 , à l’âge de 76 ans
Parents
Max Moïse CASSIN, Consul Honoraire 1885-1972
Hélène Sara MESSIAH 1889-1954 Jacques Ghémard le dimanche 14 octobre 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : En fait son père Max n'est pas le frère de René mais son cousin germain. René Cassin est donc le "grand cousin" d'Albert et pas son oncle
| |
|
Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis " La formation universitaire est assurée par une brochette de dévoués enseignants. Parmi eux, Jean Soumastre, que son statut de polytechnicien-ingénieur des Poudres prédispose à l'enseignement de la géométrie, de la physique et de la mécanique. Il nous impressionne mais le courant ne passe guère. Paul Dampierre enseigne l'algèbre, la trigonométrie, les sciences et la géométrie. Il dispense ses cours avec beaucoup de chaleur et nous considère en amis. Le premier est tout rond, le second tout en longueur. Le sous-lieutenant Albert Cassin [Denissac, de son nom de guerre], ancien élève de l'Ecole des Mines, arrive à l'Ecole en juillet 41 et se charge, lui aussi, de l'enseignement des mathématiques." Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon " Après le bain et une bonne sieste de plusieurs heures, nous remontons sur le plateau et la nuit totale nous surprend près d'une borne située à 10 km à l'ouest du point de rendez-vous, dans la région de GAMBUT. Nuit calme.
Dès l'aube chantante, déjà assis dans la voiture, le moteur en marche, TIRAILLEUR me crie :
«- Mon Capitaine, le Commandant derrière nous !»
Je descends vite et vois arriver la voiture de LAURENT-CHAMPROSAY qui s'arrête. Le Commandant en descend (avec le Lieutenant DENISSAC) et, d'une voix émue :
«- MORLON, encore perdu !»
«- Non, mon Commandant, voyez la borne près de laquelle nous avons dormi !>
Je lui dis ce que j'ai appris au point de ralliement. Son visage devient soucieux.
«- Suivez-moi, nous repartons.»
Un petit quart d'heure pour parcourir les 10 km qui nous restent à faire, et c'est l'arrivée au bivouac du régiment, ou tout au moins ce qu'il en reste.
LAURENT-CHAMPROSAY, pour se donner une contenance et cacher son émotion :
«- Voyez, je ramène MORLON qui était perdu.»
CHAVANAC, QUIROT, EMBERCER, PETITJEAN, DE LAROCHE, RAVIX, BORIS, NORDMANN, ROUILLON, quelques uns de mes sous-officiers : NAU, SALMON, NEVEU et d'autres, nous accueillent avec joie.
Et c'est le recensement des disparus qui, lui, n'est pas gai.
Pour la 4e batterie :
DE RAUVELIN et son ambulance, de BOURGET et CHEVALLIER, de BORNARD et de ses chefs de pièces, aucune nouvelle. DREYFOUS-DUCAS est passé à 837 légèrement blessé et a été évacué en ambulance. Le bilan de la batterie n'est pas réconfortant, loin de là !" Laurent Laloup le jeudi 26 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
"Les Hommes Partis De Rien" de René Cassin - Très vite d'ailleurs, le général de Gaulle comprit l'importance de dégager des masses les éléments dignes de commander. Il créa à Malvern la première école d'officiers de l'armée terrestre, le Saint-Cyr de la France libre. Une forte proportion des officiers formés dans cette pépinière a péri au combat. Dans cette école professa quelques mois un de mes neveux, Albert Cassin, ayant voyagé de Madrid à Lisbonne caché dans le coffre de l'automobile de Pigeonnaud, consul général de France à Madrid, aux risques de celui-ci. Je revois le visage déconfit de l'intéressé, ingénieur des mines et lieutenant d'artillerie ardent à partir pour l'Orient, lorsque le général de Gaulle lui intima l'ordre d'enseigner préalablement les mathématiques à la première promotion de Malvern. Tout ce que je pus obtenir, c'est la promesse qu'à la fin de l'année scolaire 1941, mon neveu obtiendrait en gage de reconnaissance la joie de rallier nos forces en Asie. Il a, par la suite, combattu à Bir-Hakeim et sur de nombreux autres champs de bataille." Laurent Laloup le jeudi 19 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le dimanche 14 octobre 2018 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.75 s  8 requêtes
|
|