| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Georges Berger | |
Naissance : 8 septembre 1924 - Léguillac-de-l'Auche (24) ou La Rochelle (17)
Activité antérieure : ouvrier / artisan
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Passage en Espagne : juin 1942
Engagement dans la France Libre : Tunisie en juin 1943
Affectation principale : FNFL / marine de guerreCaserne Surcouf, caserne Bir-Hakeim, aéronavale, cours ASDIC, L'Aventure, caserne Birot, HMS Osprey, Doris Matricules : 991 CAS43, 764 FN43
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : second maitre mécanicien
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 49633
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 1248
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4826 |
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Georges Berger - son Livre ouvert ! SUD-OUEST Léguillac-de-l'Auche
Samedi 12 novembre 2011 Journal SUD-OUEST
Vendredi dernier, à l'invitation de la bibliothèque, Jean-Jacques Gillot est venu relater les aventures des Périgordins des Forces françaises navales françaises libres, marins de la France libre entre 1940 et 1945. À l'aide de photos, il a rappelé qu'au cours de deux périodes, 1941 et 1943, 72 marins des Forces navales ont été des résistants à terre. Présent dans la salle, Georges Berger, qui a vu le jour en septembre 1924 à Léguillac-de-l'Auche de parents agriculteurs, a été l'un de ces marins. Avec détachement et modestie, il a conté son parcours.
Interné en Espagne
Il a retracé son parcours. Parti seul vers l'Afrique du Nord, à l'âge de 17 ans, d'abord refoulé en Espagne par les franquistes, il est revenu à la charge en se prétendant de nationalité belge. Il a été interné quelques mois dans le camp de Miranda-Elbro.
Mais le garçon voulait tellement rejoindre la haute mer qu'il s'est engagé dans la Royal Navy. Se disant déçu de cette courte expérience, il a déserté pour passer dans la marine de la France libre : «Je suis arrivé à Londres après avoir traversé l'Espagne et j'ai fait mes classes de matelot en Grande-Bretagne.»
Démobilisé en 1946, toujours à la recherche de nouveauté, Georges Berger a passé quelque temps à Paris, avant de partir aux Antilles où il fut imprimeur.
En 1953, il s'est marié à Fort-de-France, puis s'est installé en Nouvelle-Calédonie où il a développé une affaire de tourisme. Puis il s'est investi dans un chantier de construction navale en Australie. Revenu en métropole au cours des années 1980, il s'est établi à Perpignan et vient parfois en Périgord se recueillir sur la tombe des siens.
Jean-Louis Chanseau laurent le mercredi 09 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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