Une Française Libre parmi 62914
 

Gladys Jenny Arrowsmith épouse Delsemme

Gladys Jenny Arrowsmith épouse Delsemme - son Livre ouvert !
 

Pour une histoire de la France libre De Patrick Harismendy, Erwan Le Gall

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Laurent Laloup le dimanche 23 janvier 2022 - Demander un contact

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Elles ont suivi de Gaulle - Histoire du Corps des Volontaires françaises

Sébastien Albertelli, Perrin

" L'un des derniers navires britanniques à quitter la France est l'Ettrick. Réquisitionné comme transport de troupes, il évacue près de 2 000 personnes de Saint Jean de Luz. Clémence de l'Epine arrive juste à temps pour monter à bord. Sans le savoir, elle y côtoie au moins quatre de ses futures subordonnées : Gladys Arrowsmith, dont le père était caissier à l'American Express à Paris, Laure Le Jeune , une jeune britannique qui a fui Amboise, Marguerite Chopin, qui repart en Angleterre avec ses parents et ses onze frères et soeurs, et Christiane Flach, qui repart également en famille avec ses parents et ces cinq frères et soeurs..."

Laurent Laloup le jeudi 04 juin 2020 - Demander un contact

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Son époux :

"Armand H. Delsemme (1918 - 2017)

Armand Delsemme died on Saturday the 22nd of July 2017.

Armand H. Delsemme, Professor Emeritus of Physics and Astronomy at the University of Toledo, passed away on Saturday. July 22, 2017. He was 99 years old. Armand Delsemme was born in Verviers, Belgium, on February 1, 1918. He was interested in science, and especially astronomy, from a young age. Physics, chemistry, and astronomy were never far from the various twists and turns of his life. Armand started his formal scientific education at the University of Liège, Belgium, from 1936 to 1940, where he studied molecular spectroscopy, with the goal of becoming an astronomer. While still a student at the University, he founded the Astronomical Society of Liège (SAL), which still exists today with nearly 600 members. His Master's thesis on the FeO spectrum was submitted, despite delays and uncertainty resulting from the invasion of Belgium in the early part of World War II.

During the war he was a member of the Belgian resistance movement, collecting information about the locations and wavelength of the first German radar stations in Belgium, which was radioed back to London in coded messages. Because of his efforts, he was eventually sought by the Gestapo and escaped through France and into Spain, where he was captured and spent a year in the Miranda de Ebro Concentration Camp. He was subsequently released in an Allied trade of Belgian prisoners for Canadian grain. The released prisoners traveled through Portugal and eventually to England. After convincing the British that he was not a spy and that he actually worked for the Belgian resistance, he was recruited to work with the British Secret Service, MI6, learned to parachute, and was parachuted back into France for a mission. During his time in England he met Gladys Arrowsmith. They married, moved back to Belgium after the war, and had three children. Tragically, Gladys passed away when the children were still quite young. In 1956 he married Delphine Jehoulet, an astronomer in her own right in Liège, who had completed research for her Ph.D. after working for a year in the US at several observatories, but sadly never completed her thesis......"

Laurent Laloup le samedi 08 septembre 2018 - Demander un contact

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"Les Français libres et leurs emblèmes" Bernard Le Marec

Page 146 et 147 ou je pense voir la rencontre de Gladys et d'Armand

" Avant d’étudier succinctement les Comités Français Libres a travers le monde, il nous faut dire quelques mots des formations de jeunes que les F.F.L. prirent en charge et spécialement des Eclaireurs Français en Grande-Bretagne.

Nous avons cité, à l’occasion des Cadets de la France Libre, le nom de la Légion des jeunes Volontaires Français, créée en août 1940 à Brymbach au Pays de Galles et qui s’apparentait fortement aux Scouts dont ils portaient l’uniforme.

En effet, le 15 juillet 1940 était fondé à Londres le mouvement des Eclaireurs Français en Grande-Bretagne qui s’occupa des jeunes réfugiés, prit en charge les Troupes du lycée français et - à divers titres - certains groupements parmi lesquels la Légion des jeunes Volontaires Français, origine de l’Ecole des Cadets. Par la suite fut constituée la Fédération des Eclaireurs Français en Grande-Bretagne (United Federation of French Scouts in Great Britain) qui avait comme commissaire fédéral le Commissaire Renou, de nationalité suisse, assisté d’un Q.G. français, rattaché administrativement à l’Etat—Major du général de Gaulle: adjudant Schneider, venu des Eclaireurs Unionistes, sergent Delahousse, des Scouts de France, et la secrétaire militaire Gladys Arrowsmith. Le Quartier Général de la Fédération fut situé d’abord à Hanover Square, puis a Buckingham Palace Road, dans les sous-sols du Q.G des Eclaireurs de tout l’Empire britannique, tandis qu’une maison du scoutisme fonctionnait à Ealing Brodway où étaient reçus les permissionnaires.

Au total, la Fédération regroupa quelque cinq cents membres. La caractéristique de cette Fédération était d’être unique, unitaire, c’est-à-dire inter-fédérale, regroupant les membres des trois grandes fédérations existant avant la guerre en France:

- Scouts de France: catholiques.
- Eclaireurs Unionistes: protestants.
- Eclaireurs de France: Neutres.

Aussi était-il précisé qu’ils se dénomment Eclaireurs Français sans autre sens que la traduction de la dénomination anglaise: scout. C’est avec ce même esprit d’interfédéralisme que l’on choisit l’emblème: il ne pouvait être question de garder ni l’arc tendu et la flèche des E.U., ni la croix potencé des S.d.F. Un seul symbole pouvait convenir: l’insigne scout mondial, la fleur de lys. Celui qui fut adopté fut donc une fleur de lys tricolore, acceptable par tous. Émaillée, avec la légende: Toujours prêts, elle fut portée sur le chapeaux et comme réduction de boutonnière pour les tenues civiles ou quelquefois militaires; brodée, sans légende, elle devint l’insigne de poche.

Signalons encore le curieux emblème porté par un clan de chefs: le clan Bayard.

Il exista encore une Route Militaire dont certains ont pu dire qu’elle fut le fleuron de la France Libre.

En marge de cette Route, il nous faut citer l’existence d’une bien étonnante formation: le clan routier, créé au camp de Miranda de Ebro en Espagne par des prisonniers français et belges en 1942 sous la. direction d’Armand Delsemme (Belgique) assisté de Maurice Chauvet (France) et de Robert de Mot (Belgique). Ce clan avait choisi son nom: clan de l’Étape, et s’était même donné un insigne: une fleur de lys avec la légende 'R.S., Rover Scout, c’est-à-dire Scout routier. Cet emblème fut effectivement réalisé dans le camp même de Miranda, de façon assez grossière bien sûr, avec l’aluminium des assiettes militaires! Ses routiers s’étaient promis de se retrouver Place de la Concorde le 15 août qui suivrait la Victoire.

Enfin pour terminer les groupements de jeunes, mais dans un tout autre ordre d’idée, rappelons qu’au cours de l’été 1942, devant l’avance inquiétante de Rommel en Egypte, les enfants de la colonie française de ce territoire furent évacués vers le Liban où furent constitués des camps de jeunesse. C’est certainement à l’un de ces camps qu’appartient l’insigne portant la mention: Bab-Jenne - Août 1942"

Jacques Ghémard le samedi 27 mai 2017 - Demander un contact

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Probablement l'épouse d'Armand Delsemme

Jacques Ghémard le samedi 27 mai 2017 - Demander un contact

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"... La France Libre détachera trois permanents au quartier général des EFGB : le sergent Émile Delahousse, issu des Scouts de France, l'adjudant André Schneider, issu des Éclaireurs unionistes de France et le sergent Gladys Arrowsmith, issue de la Fédération française des éclaireuses, secrétaire du Corps des volontaires françaises..."

wikipedia.org 

Laurent Laloup le vendredi 24 juin 2016 - Demander un contact

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