Margot Duhalde Sotomayor - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Margot Duhalde Sotomayor



Naissance : 12 décembre 1920 - Rio Bueno, Chili

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Chili en mars 1941

Affectation principale : FAFL /

Homologuée FFL

Décès à 97 ans - 5 février 2018 -

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 198624


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Margot Duhalde Sotomayor - son Livre ouvert !
 

Memorias De Un Reporter. Tito Mundt.

Laurent Laloup le vendredi 24 juillet 2020 - Demander un contact

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issuu.com 

Laurent Laloup le vendredi 06 mars 2020 - Demander un contact

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Revista Aerohistoria N°9 - Septiembre de 2019 

Laurent Laloup le vendredi 06 mars 2020 - Demander un contact

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Extrait du livre de Sébastien Albertelli, "Elles ont suivi de Gaulle, Histoire du Corps des Volontaires françaises",  aux éditions Perrin.

"... Toutes les Françaises qui gagnent l’Angleterre, toutes celles qui rallient la France libre et même toutes celles qui revêtent l’uniforme ne sont pas incorporées dans le CVF. Sans que l’on sache pourquoi, certaines s’engagent directement dans l’armée. Elles se voient attribuer un matricule dans la série des 50 000, comme les hommes, et non dans la série des 70 000, réservée aux Volontaires françaises. C’est le cas pour plusieurs télépho‑ nistes aux armées évacuées de Dunkerque en juin 1940. En juillet, on prévoit de les intégrer dans le corps auxiliaire fémi‑ nin en formation, mais quand ce projet avorte avec le départ des troupes pour Dakar, Madeleine Morel, Marie Coppin et Jeannette Dartus restent dans une position mal définie. Elles n’intègrent pas le Corps féminin à sa création et sont finalement incorporées directement dans les FFL au cours de l’été 1941, avec effet rétroactif à l’été 1940. La situation est identique pour nombre de volontaires du service de santé, dont beaucoup – mais pas toutes – quittent assez vite l’Angleterre pour accompagner les unités engagées sur les théâtres d’opérations extérieures. Nina Micinic, par exemple, s’engage en août 1940 comme médecin‑auxiliaire et rejoint en octobre 1941 l’hôpital général de Brazzaville. Et alors que deux Britanniques, lady Hadfield et la générale Spears, ont créé en 1939 une unité d’ambulances qu’elles mettent à la disposition du général de Gaulle après l’armistice, des Françaises libres sont affectées à cette ambulance Hadfield‑Spears qui part en Palestine en mars 1941 : c’est le cas de Louise Lemanissier, médecin‑pharmacienne, et de Marie‑Thérèse Béguinot et Gisèle Joland, deux infirmières du Nord évadées de France par l’Espagne. D’autres femmes continuent par ailleurs à intégrer le service de santé à Londres, comme Simone Deitz ou Rosa Hirschovitch. Ajoutons le cas, exceptionnel, de Margot Duhalde, une jeune Chilienne, la seule femme engagée comme pilote dans les Forces aériennes françaises libres, en août 1941 (matricule 30 819 bis). Pendant toute la guerre, elle assure le convoyage de centaines d’avions des usines où ils sont fabriqués vers les bases. Certaines femmes engagées à titre militaire en dehors du CVF finissent toutefois par intégrer cette unité, comme Édith Audu, partie avec l’ambulance Hadfield‑Spears et revenue à Londres deux ans plus tard, Antoinette Le Ber, partie en Afrique en 1941 et de retour en octobre 1942, ou encore Françoise Nadaud, une infirmière évadée de France par l’Espagne..."

GR 16 P 294147| HIRSCHOVITCH( Rosa Ita Sonia )| 1900-12-20| Fridrichstadt|| LETTONIE|

Laurent Laloup le mercredi 01 janvier 2020 - Demander un contact

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Réponse :

"Édith Audu, partie avec l’ambulance Hadfield‑Spears" N'est-ce pas une confusion entre Edith Irwin et Edith Irving ?


erreur photo

Bonjour,
il semble que la photo que vous publiez dans votre article n'est pas celle de Margot Duhalde mais d'une aviatrice américaine nommée Nancy Love : 
de nombreuses photos de Margot Duhalde sont disponibles sur le net:  
Amicalement,
Franck

Franck le samedi 17 février 2018 - Demander un contact

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Réponse :

Ha il y avait pourtant quelque chose de commun dans la forme des yeux ...


www.aerobuzz.fr 

Laurent Laloup le jeudi 15 février 2018 - Demander un contact

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Réponse :

Et donc malgré une petite ressemblance, ce serait Nancy Harkness Love 1914 - 1976  


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Une femme exemplaire à laquelle nous nous devons de rendre hommage.
Dommage que ça disparition passe inaperçue.

fillesfemmesmeres.over-blog.com 

FIFEME le jeudi 15 février 2018 - Demander un contact

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Réponse :

Je trouve 7 morts en 2018 dans cette liste de Français Libres  il me semble que certains sont passés encore plus inaperçus


Décorations

Margot Duhalde Sotomayor avait reçu les insignes de chevalier de la légion d'honneur en 1946 à titre militaire. En 2007 elle avait reçu la cravate de commandeur de la légion d'honneur.
Lien vers le discours de remise de la décoration à l'ambassade de France au Chili (en espagnol) avec des photographies : 

Thierry LE BRETON le lundi 12 février 2018 - Demander un contact

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" La chilena Margot Duhalde, la primera piloto de guerra de Chile quien voló cazabombarderos para defender a Francia de los Nazis durante la Segunda Guerra Mundial, murió este lunes a los 97 años víctima de un tumor, informó su familia."

" La chilienne Margot Duhalde, premier pilote de guerre du Chili qui a piloté des chasseurs-bombardiers pour défendre la France contre les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, est décédée lundi à l'âge de 97 ans, victime d'une tumeur, a rapporté sa famille."

La date du 5 me semble donc confirmée par la famille

Jacques Ghémard le mercredi 07 février 2018 - Demander un contact

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besoin de relève !

Je savais que certaines femmes du milieu agricole ne rigolent pas quand elles se sont fixé des objectifs, mais là, je m'incline !
Et ce n'était pas à la dernière heure !!! ( 1941)

Demare le mardi 06 février 2018 - Demander un contact

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avis de décès

Le journal Ouest-France annonce le décès de Margot DUHALDE sur son blog Défense 
Selon la Fondation de la France libre qui a mis en ligne le fichier des FFL, elle est enregistrée FFL à compter de juin 1941 (Londres) en qualité d'AFAT (Auxiliaire fémiinine de l'armée de terre)

Thierry LE BRETON le mardi 06 février 2018 - Demander un contact

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" A 96 ans, la Chilienne Margot Duhalde est une légende de l'aviation dans son pays. Partie à 20 ans rejoindre le général de Gaulle durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut la seule femme pilote des Forces françaises libres.

"Je disais +avion+ avant de dire +maman+, selon ma mère", raconte aujourd'hui à l'AFP cette dame souriante, qui ne fait pas son âge.

Celle qui n'était alors qu'une jeune paysanne passionnée d'aviation, avec des origines familiales au pays basque français, se remémore les péripéties endurées avant de pouvoir rallier Londres.

"Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu voler", poursuit-elle.

A peine âgée de 16 ans, elle parvient à convaincre ses parents de la laisser quitter Rio Bueno, localité du sud du Chili, pour s'installer à la capitale Santiago afin d'apprendre à voler. Quitte à mentir sur son âge.

Les instructeurs de l'Aéro-club de Santiago refusent de l'instruire mais elle rencontre le Français César Copetta -devenu en 1910 le premier homme à voler au Chili- et transforme grâce à lui son rêve en réalité.

A 20 ans et avec à peine une cinquantaine d'heures de vol à son actif, cette femme au caractère bien trempé est engagée comme sergent-pilote par le consulat de la France Libre à Santiago, en cachant son astigmatisme.

Elle se rend ensuite à Buenos Aires et embarque sur un bateau pour l'Angleterre. Mais une fois sur place, rien n'est simple. Outre la barrière de la langue, les différences culturelles et les restrictions liées à la guerre, Margot Duhalde ne peut pas encore voler: les premiers temps, elle doit se contenter de s'occuper des malades et d'aider les mécaniciens.

- Piloter à l'aveugle -

Grâce à l'intervention d'un pilote français rencontré au Chili, elle rejoint finalement l'Air Transport Auxiliary (ATA), organisation au service de la Royal Air Force, pour assurer le transfert des avions entre les usines et les aérodromes, dont le célèbre Spitfire, l'un des chasseurs de combat les plus utilisés par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale.

"Notre mission était de dégager les usines, le plus vite possible, pour que les Allemands ne les bombardent pas. En une journée, nous pouvions piloter cinq sortes d'avions différents?, confie la dame au regard perçant, que ses collègues anglais surnommaient "Chile" (Chili).

Ces "ferry pilots" de l'ATA recevaient des formations théoriques sur les appareils à convoyer, qu'il devaient ensuite manier en s'appuyant uniquement sur un manuel.

Margot Duhalde "convoie ainsi plus de 1.500 appareils anglais ou américains et de tous types, chasseurs, bombardiers, avions de transport et d'instruction", écrit la Revue historique des armées françaises dans un article intitulé "Femmes et pilotes militaires dans l'armée de l'Air".

"Je crois que nous étions en danger tous les jours, parce que nous pilotions des avions que nous ne connaissions pas", convient Mme Duhalde.

Volant à l'aveugle sans radar, elle doit également éviter les énormes ballons placés par l'armée anglaise à 5.000 pieds d'altitude au-dessus des villes et installations militaires pour gêner les avions allemands.

- Une dizaine d'accidents -

Elle accumule ainsi des milliers d'heures de vol et survit à une dizaine d'accidents.

"Maintenant, ça me fait peur. Quand je suis couchée, parfois je n'arrive pas à dormir: je me souviens de certains des accidents que j'ai eus et ça m'effraie!?, raconte-t-elle.

Pour réaliser son rêve de voler, Margot Duhalde a dû se battre toute sa vie contre les préjugés à une époque où être une femme pilote relevait quasiment de la chimère.

"Le machisme était plus puissant culturellement qu'aujourd'hui. Une femme dans l'aéronautique, qui plus est dans des activités militaires, c'était vraiment rare", souligne Eduardo Werner, chercheur du Musée national de l'aéronautique et de l'espace au Chili.

Mais "je ne me suis jamais sentie rejetée, même si je savais qu"il y avait une rivalité entre les pilotes femmes et les hommes", confie l'intéressée. "Les hommes disaient toujours que les femmes n'allaient pas être capables de piloter les avions, mais ils devaient ravaler leur fierté, parce qu'en réalité nous volions aussi bien qu'eux!", se rappelle-t-elle.

En plus d'être une des premières femmes pilotes au Chili, Margot Duhalde, qui a volé pour la dernière fois en 2007 (à 86 ans), fut la première contrôleuse aérienne de son pays et également pilote de ligne.

Avec ses actes héroïques, cette mère d'un enfant a fait l'unanimité: elle été décorée par l'Angleterre, le Chili et la France, où elle a reçu la Légion d'honneur."

Jacques Ghémard le vendredi 08 septembre 2017 - Demander un contact

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Il 15 Ferry Pool al completo (1944)



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Cristina le lundi 19 juin 2017

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Margot Duhalde con Mary Ellis e tre pilote polacche



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Cristina le dimanche 11 juin 2017

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Margot Duhalde con alcuni colleghi del 6° Ferry Pool ATA (1943 c)

Cristina le dimanche 30 avril 2017

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Dernière mise à jour le vendredi 24 juillet 2020

 

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