| |  | | | | Une Française Libre parmi 62926
| | | Blanche Mathilde Serpereau épouse Féron | |
Naissance : 27 avril 1914 - Paris 14e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1943
Affectation principale : Résistance intérieure / Turma Vengeance
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 90 ans - 27 octobre 2004 - Epouse de Jules Féron 
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 545789
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 18649 |
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Blanche Mathilde Serpereau épouse Féron - son Livre ouvert !
" Blanche Féron, résistante du réseau Turma-Vengeance, est décédée
La Croix le 02/11/2004
Blanche Féron, membre du réseau Turma-Vengeance, un des principaux réseaux de la Résistance, spécialisé dans les filières d'évasion pendant l'Occupation, est décédée mercredi dernier à l'âge de 90 ans, ont annoncé ce week-end deux organisations de Résistance. Entrée dans ce réseau aux côtés de son mari, Jules Féron, pour faire traverser la ligne de démarcation, puis la frontière espagnole aux personnes poursuivies par les Allemands, elle avait été déportée à Ravensbrück. Son mari est mort en déportation. Blanche Féron était commandeur de la Légion d'honneur." Jacques Ghémard le dimanche 14 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" 03/11/1943 Famille Féron - Jules, né en 1901 à Bruxelles (Belgique) est un médecin psychanalyste belge d’une famille connue dans la politique belge : neveu du ministre de la justice Paul-Emile Janson (mort en déportation) et cousin de Paul-Henri Spaak, ministre des Affaires Etrangères, réfugié à Londres, en 1940 et, plus tard, Premier Ministre de Belgique, sa notoriété et ses idées antifascistes attirent l’attention des occupants nazis. Venu en Ariège en 1940 avec son épouse française, Blanche Serpereau, ils reviennent en avril 1942, et achètent la ferme de Couchet à Pradières. Bientôt, Jules crée une filière d’évasion belge vers l’Espagne (1942). Jules Féron fait les passages en montagne, tandis que Blanche convoie les évadés par le train jusqu’à Bourg-Madame. Vingt-cinq personnes passent avec le réseau Féron. Le 3 novembre 1943, la Gestapo arrête Jules Féron et un alsacien candidat au passage, le lendemain sa femme est emprisonnée. Jules Féron, déporté à Buchenwald, puis à Dora, meurt à Ellrich. Sa femme reviendra." Jacques Ghémard le dimanche 14 juillet 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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