Jacques Bergier - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Bergier



Naissance : 8 aout 1912 - Odessa, Ukraine

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en octobre 1942

Affectation principale : Résistance intérieure / Marco Polo

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 66 ans - 23 novembre 1978 - Paris 20e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 50084

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4855

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" JACQUES BERGIER
... membre du réseau « Libération » avec le Trio des Ingénieurs de 09 à 12/42, puis de « Marco-Polo » à la section scientifique de la Croix-Rousse; arrêté le 24/11/1943 à Villeurbanne, en compagnie de Gaston Fléchier, Raymond Léculier (« Couguard »), Jacques Legrand (« Mulot »), Jacqueline Sevillano, Lucien Périchon (« Perruche », déporté à Mauthausen comme Bergier en mars 1944), Paul Pellet (« Balbo »), et Marguerite Pellet. Henri Lacarelle ("Sarcelle") et Cyprien Gabilly ("Poisson rouge", dont le père Henri Eugène Gabilly, grossiste en primeurs 25 chemin de la Tassine à Saint-Genis-Laval (Rhône), accueillera en catastrophe durant quelques semaines les restes du Réseau Marco-Polo au retour de Londres de René Pellet le 15/12/1943, avant sa réimplantation au domaine agricole du Milon à Chaponost jusqu'au 31/07/1944), tous deux agents de liaison P2, échappent d'extrême justesse à la rafle de la nuit du 24/11, grâce à un aveugle posté à l'entrée de l'Institut Pellet. En quelques heures 62 agents du réseau de résistance M.C.P.A. Promontoire-Marco-Polo furent ainsi interpellés, en représaille au sabotage du camion central téléphonique « central D.V. » installé dans la cour de l'hotel des Postes de Lyon, par Charles Spitz le 19/11/1943 (ce dernier étant arrêté le 26/11/1943)). Grace à Irénée Pellet, le père de René, Julien Steyaert réussit à sauver les archives du Réseau à l’Institut, dans la journée du 25/11/1943!..."

bergier.monsite-orange.fr 

Laurent Laloup le mercredi 25 novembre 2020 - Demander un contact

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Rapport d'André Pellet sur le réseau Marco-Polo 



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Laurent Laloup le lundi 16 novembre 2020 - Demander un contact

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Rapport d'André Pellet sur le réseau Marco-Polo 



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Laurent Laloup le lundi 16 novembre 2020 - Demander un contact

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" Jean Benech est Inspecteur de la Santé du Rhône en 1942 - ayant demandé sa mutation pour raison de sécurité,  il entre en résistance en avril 1942, rattaché au réseau Marco Polo et au service privé de Gallia. Engagé auprès du Colonel Guivante de Saint Gast, il travaille activement avec Jacques Bingen, et Claude Serreulles entre autre.

Le 20 décembre 1943, il est arrêté à son bureau par la gestapo pour « activité anti-allemande », conséquence de la souricière organisée par les allemands à l’Institut des Sourds-muets à   Lyon. Jacques Bergier et Pierre Vitch seront également déportés à Mauthausen lors du démantèlement du réseau.             .

Jean Benech est incarcéré au Fort Montluc avant d’être dirigé vers le Camp de Royallieu. Il fait parti du « transfert de prisonniers civils du stalag 122 le 22 mars. »*

Arrivé au Camp de Mauthausen le 25 mars, mon père -sous le matricule 59555 - effectue la quarantaine obligatoire au Revier de Mauthausen avec entre autre M. Benielli qui m’a reçue avec la plus grande des gentillesses et la plus grande compréhension pendant 2 heures.

Puis ce sera Melk avant d'être affecté comme médecin au Revier de Mauthausen.

Un plan du camp, la photographie de son dossard  « H. ARTZ » figurent sur un panneau de l’exposition** de Nancy en 2006, ainsi que la première carte via la Croix Rouge adressée à  sa fille  nous indiquant pour la première fois qu’il était vivant.

Comme il est indiqué dans le Mémorial (p. 70) il est le premier à  avoir aperçu « la voiture blanche » le 5 mai 1945.

Il refuse en tant que « le plus âgé, toujours inspecteur de la Santé et représentant le Ministre de la Santé » ***de partir avec les premiers convois. Il sera l’un des derniers déportés rapatriés de Mauthausen.

Que dire encore, revenu le 25 mai 1945, transité par l’Hôtel Lutetia, il rentre à Lyon, prend le poste d’Inspecteur  Régional de la Santé à Poitiers avant d’être nommé responsable du service de Protection Maternelle et Infantile à l’Assistance Publique de Paris.

Il revient à Nancy  en tant qu’Inspecteur Divisionnaire de la Santé.  Jean Benech y terminera sa carrière le 28 mai 1954."

jeanbenech.fr 

Laurent Laloup le lundi 11 novembre 2019 - Demander un contact

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afmd.asso.fr 



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Laurent Laloup le lundi 06 mai 2019 - Demander un contact

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" Au printemps 1940, avec Bergier et Alfred Eskenazi, il [André Helbronner] dépose à l'Académie des sciences un dossier sur l’élaboration d’une bombe H. Après être passé par Toulouse au début de l'occupation allemande, il rejoint le réseau de résistance Marco Polo, qui vient d'être créé dans la région lyonnaise. Il fait alors partie, avec quelques scientifiques comme Alfred Eskenazi (électronicien avant l'heure, auteur en 1938 de brevets sur l'asservissement aux trains d'impulsion et qui fournira à Lucie Aubrac de la part du réseau Marco Polo les papiers allemands pour entrer dans l'Hôpital de l'Anticaille afin de délivrer -entre autres- Serge Ravanel), Jacques Bergier alias "Jacques Verne" et d'autres, du groupe dit « des Ingénieurs » qui étudie les avancées techniques des Allemands dans les domaines militaire et scientifique. Ils réussissent ainsi à mettre au jour les expérimentations des fusées V1 et V2, grâce aux renseignements d'un ingénieur russe travaillant sur place. Ils trouvent encore de 1941 à 1943 le temps et les moyens de travailler à des applications pour l'industrie textile (collages, mesures et automatismes liés aux tissus), grâce aux proches d'Eskenazi."

" Avec quelques scientifiques comme Alfred Eskenazi, pionnier de la cybernétique, Jacques Bergier, alias Jacques Verne, et d'autres comme Helbronner du groupe dit « des Ingénieurs » (qui étudie les avancées techniques des Allemands dans les domaines militaire et scientifique), sont mises au jour les expérimentations allemandes sur les fusées V1 et V2."

Jacques Ghémard le dimanche 07 avril 2019 - Demander un contact

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"Vie privée
Après sa libération, en mai 1945, son amie et co-résistante du réseau Marco Polo, Françoise Viviane Juliette Tolédano (1921-1991), lui prêta son appui et le soigna pendant de longs mois. Le 19 mars 1949, Bergier épousa Jacqueline Bernardeau, native de Bordeaux et âgée de 28 ans, avec qui il restera marié jusqu'à sa mort en 1978, malgré leur séparation."

Jacques Ghémard le vendredi 21 décembre 2018 - Demander un contact

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Après la mort de son compagnon de résistance Guivante (Paul Guivante dit) de Saint-Gast le 6 mars 1952 (membre -dirigeant- de Marco-Polo, tout comme son cousin germain député, ministre des finances, puis du commerce et de l'industrie, Henri Ulver , de 1951 à 1956), Bergier décide de délaisser ses activités d'ingénieur-conseil « chasseur de tête » scientifique et de recherches en synthèse d' ersatz de carburants pour le tiers-monde au sein de la société "Recherches et Industrie", créée avec son ami de lycée -rencontré dès leur arrivée parisienne comme immigrés- Albert Mirlesse et Saint-Gast, pour se lancer dans l'écriture.

Jacques Ghémard le vendredi 21 décembre 2018 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 25 novembre 2020

 

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