| |  | | | | Un Français Libre parmi 62914
| | 
Cliquez !
| Claude Aveline né Eugène Avtsine | |
Naissance : 19 juillet 1901 - Paris 5e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en septembre 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / Musée de l'Homme
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1
Décès à 91 ans - 4 novembre 1992 - Paris 15e
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 24322
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 2555 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Claude Aveline né Eugène Avtsine - son Livre ouvert !
 The Haennig-Nordmann Papers: Two Lawyers in Occupied France
Jules Andrieu (1896-1942), head teacher, defended by a lawyer of Russian origin, Strelnikoff, accused of serious crimes, including espionage, found guilty, executed 23 February 1942. Cited in German documents n° 12-16,1941.
Claude Aveline (pseud. Evgen Avtsine, 1901-1992), writer.
Jacqueline Bordelet (1912-?), secretary, acquitted in 1942^^^ Cited in German documents n° 12-17,1941.
Jean-Paul Carrier (1917-2000), accused of having been a liaison agent, sentenced to 3 years imprisonment in 1942. Cited in German documents n° 13, 18, 1941 and in Nordmann's letter, n° 34, 1942. He escaped from Clairvaux prison and spent 7 months in Spanish prisons before reaching North Africa (according to Humbert, op. cit., 2008, p. 102nl2). He then joined the Free French forces.
Jean Cassou (1897-1986), writer and art critic.
Albert Charles Comba, born in February 1921 in Turin, naturalized French, typographer, domiciled at La Courneuve, member of aero-club at Auhervilliers, arrested 30 December 1940, imprisoned at the Prison du Cherche-Midi, Paris. Cited in German documents n° 12-14,18,1941.
René Creston (1898-1964), sociologist, distributed tracts.
Countess Elisabeth de la Panouse de la Bourdonnaye (1911-?), aka Dexia, was in regular contact with Vilde, helped him financially, reproduced and distributed tracts, helped her son Geoffroy and 17 other persons reach England via Spain. Before his arrest, she had sheltered Nordmann. She was arrested on 23 March 1941, interrogated (she denied knoAving Nordmann), accused of having harbored an antiGerman conspirator but however eventually freed on probation before her trial. She was subsequently tried and sentenced to 6 months imprisonment from February through July 1942 in Paris Cherche-Midi prison. Cited in document n° 7, and in Nordmann's letter, n° 34, 1942. In 1943, she went into hiding, became secretary of medical Resistance and in 1944 responsible for medical supplies to the Free French. She also rescued Jewish children with the help of pediatrician Professor Robert Debre, her wartime companion, whom she married after the war.
125 The University of Michigan Special Collections Library , Margaret L. Rossiter papers on "Women in the Resistance", has documents on Jacqueline Bordelet (including taped recordings of 27-29 Feb. 1980), Agn6s Humbert and Yvette Oddon (Boxes 3 and 7).
GR 16 P 138920 | COMBA (Albert Charles) | 1921-02-20 | Turin | | ITALIE | DIR
Laurent Laloup le mercredi 27 décembre 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
"... Au même moment, le duo Agnès Humbert-Jean Cassou met sur pied un noyau initial d'une dizaine de camarades. Aux frères Albert et Robert Emile-Paul, éditeurs du Quartier latin, à l'écrivain Claude Aveline, à l'universitaire Marcel Abraham viennent se joindre Jean et Colette Duval, respectivement enseignant et auteur de livres pour enfants, Simone Martin-Chauffier, ancienne employée du Centre d'études de politique étrangère, l'égyptologue Christiane Desroches ou encore le jeune Jean Aubier, fils de l'éditeur du même nom et encore étudiant. Souvent amis intimes, les acteurs de cette « conspiration » sont des gens de lettres et des intellectuels. Les objectifs initiaux de la « société secrète » ainsi formée sont modestes. Chez les frères Emile-Paul ou au domicile de Simone Martin-Chauffier, dans le 16e arrondissement, on se rencontre « à jour fixe, pour se communiquer des nouvelles, rédiger et diffuser des tracts, donner des résumés de la radio française de Londres ». Consciente de la portée limitée de ces premiers pas, Agnès Humbert confesse : « Je ne me fais pas beaucoup d'illusions sur l'efficacité de notre action, mais nous aurons déjà atteint un résultat si nous parvenons à conserver notre équilibre mental. Nous nous tiendrons les coudes, tous les dix, nous chercherons à voir clair en nous. En un mot, nous nous réunissons par besoin d'hygiène morale. » À son ami le sociologue Georges Friedmann, replié à Toulouse, elle rend compte, à mots à peine couverts, des démarches entreprises à Paris :
Pour la santé mentale on lutte âprement. Je vois très souvent notre ami J.C. (qui vous écrit). Nous organisons nos études pour cet hiver, et nous trouvons déjà un grand réconfort à faire des préparatifs. Certains de nos amis communs vont travailler avec nous – il s'agit naturellement d'un cours très modeste –, il y aura peu d'auditeurs et aucune publicité. [lettre du 8 septembre 1940]. ..."
www.reseau-canope.fr Laurent Laloup le jeudi 12 août 2021 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le mercredi 27 décembre 2023 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.78 s 8 requêtes 
|
|
