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Jacques Carbuccia

Jacques Carbuccia - son Livre ouvert !
 

Homologation de grade

Journal officiel de la République française. Lois et décrets 1948/08/28
Edité en 1948
Source: Gallica

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Laurent Laloup le dimanche 09 janvier 2022 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 9585 | ALOISI (Jean Pierre) | 1913-09-15 | Bastia | Corse | FRANCE | FFc FFi DIR

Nom : CARBUCCIA
Prénom : Jacques
Sexe : M
Jour de naissance : 07
Mois de naissance : 03
Année de naissance : 1916
Code insee naissance : 13055
Commune de naissance : Marseille
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 27
Mois de décès : 03
Année de décès : 1998
Code insee deces : 92063
Commune de décès : Rueil-Malmaison
Pays de décès : FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le lundi 22 novembre 2021 - Demander un contact

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Chroniques des annees de guerre en perigord - Gillot jj -

" L'historien Jean-Jacques Gillot nous livre ici un panorama diversifié de l'époque agitée que constitua la Seconde Guerre mondiale en Périgord, au « temps où les Français ne s'aimaient pas, s'entredéchiraient et même s'entretuaient », dixit Georges Pompidou. De Paul Lapuyade, modèle accompli de la fuite en avant des collaborateurs, à l'intrigant Marcel Thisse, en passant par le trouble Urbanovitch, l'étonnante famille des Gréco, l'engagement des policiers Félix Landry et Jacques Carbuccia, ainsi que la situation restée..."

Laurent Laloup le mercredi 20 mars 2019 - Demander un contact

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" Félix Landry est sûrement peu connu des Bergeracois, mais eut pourtant un rôle important dans la résistance locale. L’élue de l’opposition Jacqueline Simonnet s’est attachée jeudi, lors du conseil municipal, à partager son histoire. Commissaire des Renseignements généraux durant la seconde guerre à Bergerac, Félix Landry fut intégré, avec les inspecteurs Carbuccia, Nussbaum, Grignon et Legal, au réseau « Ajax », en octobre 1943. Ils déjouèrent très souvent les plans des Allemands. L’une des premières actions du commissaire Landry, avec la complicité des inspecteurs Jacques Carbuccia et Eugène Créty fut de rédiger un faux rapport, malgré la conviction des policiers sur le sabotage de la Poudrerie Nationale de Bergerac, par les poudriers résistants. Un rapport de recherches infructueuses fut transmis au chef départemental des Renseignements généraux à Périgueux, pro-vichiste. Le directeur de la SNPE de l’époque, Charles Garraud, ne poursuivra pas les investigations des policiers. Lui-même, farouche opposant de l’Allemagne nazie sera arrêté et déporté. Ce ne sera pas le seul fait résistant de ce policier bergeracois mort en déportation. C’est ainsi que pour sa mémoire, le PRG a proposé de donner son nom à une rue adjacente du commissariat. La requête a été adoptée à l’unanimité."

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Laurent Laloup le mercredi 20 mars 2019 - Demander un contact

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