| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Victor Nicolas Vic Dupont | |
Naissance : 12 septembre 1909 - Charmes (88)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en novembre 1941
Affectation principale : Résistance intérieure / Turma Vengeance
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1
Décès à 67 ans - 22 septembre 1976 - Suresnes (92)Epoux de Simone Guyot
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 202042
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 17036 |
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Victor Nicolas Vic Dupont - son Livre ouvert ! chantran.vengeance.free.fr
" la photo jointe, datée au dos par erreur du 18 octobre 1946, montre les fondateurs et des membres de Vengeance, certainement après une cérémonie de remise de décorations. Certains portent l’insigne du mouvement. Qui pourra nous aider à identifier les derniers et donner des renseignements sur cet événement (lieu notamment)?"
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laurent laloup le mercredi 22 avril 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Né le 12 septembre 1909 à Charmes (Vosges), Vic Dupont est médecin. En 1937, il est affecté au Val-de-Grace, puis au 146ème régiment d’infanterie. Durant la campagne de 1939-1940, mobilisé comme médecin, il rejoint le 160ème régiment d’infanterie. Prisonnier de guerre, interné à Melun, il est libéré le 13 décembre 1940.
De retour à Paris, il rassemble quelques camarades, dont François Wetterwald, pour constituer un réseau de renseignements et d’aide aux prisonniers évadés. Il se rend à Vichy et entre en contact avec Ronin, chef du SR Air qui lui demande de créer un service de renseignement en zone nord. Il crée le réseau Vengeance, avec trois filiales : action, évasion, renseignement.
En 1942, à la suite de l’invasion de la zone libre, Vic Dupont perd ses contacts. Recherché depuis quelques temps par la Gestapo, il manque d’être pris dans l’enceinte de l’hôpital de la Salpetrière. En novembre, il entre en clandestinité.
En janvier 1943, Passy le convoque à Londres, mais les différentes tentatives de traversées maritimes échouent.
Il est arrêté le 9 octobre 1943 à la gare Montparnasse et il est emmené rue des Saussaies pour interrogatoire, puis interné à Fresnes.
Il sera déporté à Buchenwald le 24 janvier 1944, d’où il sera libéré en avril 1945.
Vic Dupont à témoigné en 1946 au procès de Nuremberg.
Il décède à Paris en septembre 1976." Laurent Laloup le dimanche 19 novembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"... Mobilisé en 1939, il est nommé capitaine de la 13e batterie du 237e Régiment d'artillerie lourde divisionnaire. Divers témoignages soulignent sa popularité auprès de ses hommes. Il est grièvement blessé dans la Somme, le 5 juin 1940. Hospitalisé près de Paris, il échappe aux Allemands en gagnant le Midi. Démobilisé le 1er août 1940, il reprend ses fonctions à la tête de son laboratoire. Choqué par la défaite française qu'il refuse, il s'efforce de réagir en groupant autour de lui certains de ses anciens soldats. Avec un ami de 25 ans, le pharmacien Chabrol, de surcroît ancien camarade de régiment, il aurait commencé à organiser des groupes de résistants en Bourgogne, dans l'Aube ou encore dans l'Eure. En janvier 1941, Coquoin a eu l'occasion de rencontrer Honoré d'Estienne d'Orves et de participer, temporairement, à l'organisation de noyaux clandestins chargés de la transmission, à Londres, d'informations sur l'armée d'occupation. C'est au début de l'année 1942 que Roger Coquoin fait la connaissance de Maurice Ripoche. Ces deux hommes se complètent à merveille : Ripoche est bouillant, plein d'allant ; Coquoin est calme et froid. Il devient "François Lenormand" : parcourant la province, il contribue à l'extension du mouvement Ceux de la Libération (CDLL) en Normandie, en Champagne, en Bourgogne, en Vendée, et même en zone Sud. Son lieu de travail joue un rôle central : chaque semaine, au laboratoire de chimie de l'Académie de Médecine, Ripoche et Médéric viennent l'y retrouver. Sa spécialité professionnelle lui permet aussi de mettre au point, avec Maurice Ripoche et Raymond Jovignot, des détonateurs et des pastilles abrasives (du carborandum englobé dans de la paraffine) : ces dernières sont destinées à saboter les moteurs des camions allemands.
Lorsque Ripoche est arrêté en mars 1943, Coquoin prendre sa suite à la tête de CDLL. Une tentative de faire évader Ripoche, qu'il conduit avec Médéric, Pergaud, Vic Dupont et le Professeur Richet, échoue..."
museedelaresistanceenligne.org Laurent Laloup le dimanche 19 novembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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