Jean Joseph Abeberry - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Joseph Abeberry



Naissance : 2 octobre 1895 - Arcangues (64)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en aout 1942

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 49 ans - 18 novembre 1944 - Melk, Autriche

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 1355

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 212

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Parcours en déportation

Il est arrêté le 15 Juin 1944 et enfermé à la «Villa Chagrin» à Bayonne, il est transféré, son nom est noté sur une liste des interné dans la prison militaire allemande de Bordeaux du Fort du Hâ. Il est noté qu’il était porteur d’une montre de poche avec sa chaine, d’une bague et 3 Ausweiss (laissez-passer).

Déporté par le convoi I.261 du 03 Juillet 1946 au départ de Toulouse, il arrivé à Dachau le 28 Août 1944. Tout d’abord «désinfecté», il se voit attribué le matricule 39 897 qui lui est tatoué sur l’avant bras gauche.

Il est de nouveau déporté le 14 Septembre 1944 de Dachau pour être envoyé à Mauthausen où il arrive le 16 Septembre afin de travaillé dans le Kommando «Quarz» de Melk afin d’installer une usine souterraine destinée à fabriquer des roulements à billes pour Steyr, Daimler et Puch. Le travail forcé et les conditions de vie inhumaine auront raison de sa santé déjà bien fragilisé par la précédente guerre, il meurt le 18 Novembre 1944 à 07h00. Son avis de décès ne sera établi à Mauthausen que le 21 suivant.

Il obtient la mention «Mort pour la France»

Décorations :

Médaille Militaire par Décret du 30 Mars 1935, publication sur le Journal Officiel de la République Française du 25 Avril 1935.
Croix de Guerre, étoile d’argent par citation à l’Ordre de la Division No 81 du 05 Janvier 1917
Médaille de la Résistance Française à titre posthume, par Décret du 24 Avril 1946, publication sur le Journal Officiel de la République Française le 17 Mai 1946.


Source:
Arolsen Archives: Reference Code 01012603 oS document 418729 / Reference Code 01010602 oS document 329305 / Reference Code 01012607oS document 187596 / Reference Code 3712793160 document 35 / Reference code 4316824 document 624 / Reference code 4316824 document 624 / Reference code 6432211 document 7283.
Fondation mémoire de la déportation: convoi I.261

JM Gillet le lundi 11 juillet 2022 - Demander un contact

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TRANSPORT PARTI LE 3 JUILLET 1944 DE TOULOUSE ET ARRIVÉ LE 28 AOÛT 1944 AU KL DACHAU
93897 ABEBERRY Jean M 02/10/1895 Arcangues (64) F Da,Ma(Melk) DCD 18/11/1944 Melk

Laurent Laloup le mercredi 14 février 2018 - Demander un contact

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Je suppose que c'est lui qui fut maire de Ciboure  "Joseph ABEBERRY 05/1935 - 1941" mais du fait qu'il y a une rue à son nom, Internet rengorge de page qui le citent sans parler de lui. C'est assez paradoxal mais pour être oublié il faut avoir une rue à son nom

Ha si quand même  " Joseph Abeberry est né à Arcangues le 2 octobre 1895. Il est mobilisé durant la guerre de 14-18 et grièvement blessé à deux reprises. A son retour, handicapé par les blessures et le gazage subis, il obtient un poste à la sous-préfecture de Bayonne, puis est nommé secrétaire de mairie à Ciboure. Il sera le délégué des anciens combattants et blessés de guerre pour le Pays Basque. Aux élections municipales de 1935, il conduit une liste “front populaire” à Ciboure et est élu maire. En 1940, il est révoqué par le gouvernement de Vichy, à l’instar de milliers de maires suspects aux yeux du régime du maréchal .
Joseph Abeberry s’engage alors dans la résistance et entre en clandestinité. En juin 44 il est dénoncé, arrêté et enfermé à la “Villa Chagrin” à Bayonne. Deux mois plus tard, il sera déporté et sa santé précaire ne lui permettra pas de survivre plus de quelques mois en camp de concentration. Ses descendants ne savent pas s’il est mort à Dachau ou Mathausen.
Homme de conviction et d’engagement, Joseph Abeberry a mis à profit son mandat de maire pour organiser à Ciboure l’accueil des réfugiés d’Hegoalde de 36-39. Nombreux seront ceux qui bénéficieront de son aide pour l’obtention des précieux documents officiels, indispensables à l’installation de ce côté-ci de la frontière. De nos jours, Joseph Abeberry serait, sans nul doute, un militant de la gauche abertzale. Il est de ceux que notre mémoire collective défaillante est prompte à oublier. Pourtant, Joseph Abeberry, comme ces hommes et ces femmes tombés dans l’oubli, a, à sa manière, participé à la construction de l’histoire d’Euskal Herria."

D'après sa page CND, il a été rapatrié pourtant

Jacques Ghémard le mercredi 11 octobre 2017 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 11 juillet 2022

 

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