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| Jean François Emile Le Huludut | |
Naissance : 28 juillet 1910 - Lorient (56)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en janvier 1943
Affectation principale : Résistance intérieure / Action
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 34 ans - 5 décembre 1944 - Hartheim, Autriche
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 358058
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 30096 |
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Jean François Emile Le Huludut - son Livre ouvert !
Mon grand père Le devoir de mémoire est inscrit dans notre histoire familiale. Mon grand père Jean en a été le catalyseur. Mon père,Guy, mon oncle et ma tante, ma grand mère Michèle nous ont transmis des valeurs que leur père et époux a si chèrement défendues. Nos enfants les portent à leur tour.
En ce début de 21e siècle si troublé, je sais que je résisterai, comme il l'a fait, si je le devais. N'oublions jamais ! Le Huludut Sourisseau le samedi 24 octobre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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 " L’équipe en charge d’organiser et réceptionner les parachutages comprend :
Jean-Baptiste Certain, son fils Jean ; Francis Launay ; Jean Le Huludut ; Emile Menoret, sa fille Paulette ; Marcel et Alphonsine Marie Lizé ; Jean Civel.
Trois d’entre eux mourront en déportation ; trois d’entre eux en reviendront ; quatre d’entre eux, réussiront à y échapper."
Laurent Laloup le mardi 17 octobre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Jean Huludut est arrêté, le 27 janvier 1944, par la Gestapo, au bureau de poste de Guémené-Penfao, situé à l'époque près de l'actuelle école Louis-Pergaud. Il y travaille en tant que distributeur.
Son crime ? Être résistant. Depuis l'été 1943, Jean fait partie d'un des réseaux des Forces françaises combattantes, dirigé localement par Jean Civel, instituteur au village. Il doit quitter son épouse, Michelle, qui est enceinte de Michel, et ses deux aînés, Guy et Jacqueline, pour la prison La Fayette de Nantes, puis celle d'Angers, avant d'être interné au camp de Royallieu, près de Compiègne. Le 6 avril 1944, il est déporté vers Mauthausen, en Autriche, puis affecté au Kommando de travail à Melk, avant de mourir, le 5 décembre 1944, au centre d'euthanasie d'Hartheim, il avait 34 ans." Jacques Ghémard le mercredi 13 avril 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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