Pierre Marie Paul Léon Cayrol - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
Les contributions
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 63243
 


Cliquez !


Cliquez !

Pierre Marie Paul Léon Cayrol



Naissance : 2 mars 1908 - Bordeaux (33)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 37 ans - 19 mars 1945 - Ellrich, Allemagne

Mort pour la France

Frère de Jean Cayrol 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 113541

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 10085


Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 9 plus 3 =  ?


Pierre Marie Paul Léon Cayrol - son Livre ouvert !
 

Jean Cayrol. Une vie en poésie De Michel Pateau



Cliquez pour agrandir

Jacques Ghémard le mardi 19 juillet 2022 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Jean Cayrol. Une vie en poésie De Michel Pateau

GR 16 P 55681 | BESANÇON (Albert Paul) | 1915-04-29 | Pontarlier | Doubs | FRANCE | FFc DIR



Cliquez pour agrandir

Laurent Laloup le vendredi 04 février 2022 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


Wikipédia  " Laure Gatet, née Laure Constance Pierrette Gatet le 19 juillet 1913 à Boussac-Bourg (Creuse) et morte le 25 février 1943 à Auschwitz, est une pharmacienne, biochimiste et résistante française.

Après avoir fréquenté plusieurs établissements scolaires dans le sud-ouest de la France, notamment à Périgueux et à Bordeaux, Laure Gatet fait des études de pharmacie, avant de s'orienter vers des recherches en biochimie. Pendant l'occupation, elle s'engage dans le réseau de résistance la Confrérie Notre-Dame en tant qu'agent de liaison de la France libre. Elle exécute principalement des actions de propagande et d'échanges de renseignements entre la France et ses pays limitrophes. Repérée par la police allemande, elle est arrêtée le soir du 10 juin 1942 et détenue dans plusieurs prisons avant d'être transférée dans le camp d'Auschwitz où elle trouve la mort.
[...]
À Bordeaux, avant la Seconde Guerre mondiale, Laure Gatet milite dans un groupe de catholiques mené par le père jésuite Antoine Dieuzayde, au foyer Henri Bazire. Beaucoup d'entre eux participent à un camp de vacances catholique près de Barèges, où s'est aussi organisé un soutien aux réfugiés de la Guerre d'Espagne ; leur groupe est connu sous le nom des « Barégeois de Bordeaux ». En juin 1940, le père Dieuzayde et la plupart des membres du groupe cherchent des moyens de résister. Laure assiste régulièrement aux réunions.

Laure Gatet est à Bordeaux aux côtés de sa tante lors du bombardement de minuit dans la nuit du 19 au 20 juin 1940,, et retourne d'abord à Périgueux. Selon un témoignage de sa mère datant de 1955, à cette époque « Laure espère encore que la France sera sauvée, […] elle n'accepte pas la capitulation, souvent le soir, je l'entends pleurer ».

Elle revient toutefois habiter avec sa tante à Bordeaux alors que l'occupation de la ville commence, au début du mois d'octobre 1940. Dès ce moment, elle s'engage dans la propagande contre les nazis par l'intermédiaire de Pierre Cayrol,. En janvier 1941, elle intègre le réseau de résistance et de renseignements de la Confrérie Notre-Dame (CND), dirigée à Bordeaux par le commandant Jean Fleuret. Sans que ses collègues du laboratoire ne le soupçonnent, elle assume, avec brio selon le commandant, le rôle d'agent de liaison29. Elle poursuit parallèlement ses activités de propagande contre l'occupant : Louis Genevois écrit en 1982 que Laure Gatet fait de la propagande gaulliste en même temps que ses opérations de liaison, un mélange dangereux qui fait peur à sa secrétaire30. Laure Gatet et les autres résistants du réseau CND se regroupent chaque dimanche matin au cours Victor Hugo de Bordeaux. Chacun communique aux autres les renseignements recueillis. Ces derniers peuvent être transmis à Londres, aux agents de la zone libre ou bien aux frontières du pays, entre autres grâce à Laure ; celle-ci cache les papiers classés top secret dans des boîtes de poudre à récurer. Elle obtient un laissez-passer (Ausweis) afin de pouvoir franchir la ligne de démarcation et rendre visite à ses parents à Périgueux. À cette époque, elle est souvent fouillée, mais les Allemands ne trouvent jamais rien qui puisse l'accuser31.

Le 10 juin 1942, pourtant, Laure Gatet et trente-trois autres membres du réseau CND sont arrêtés. Pierre Cartaud, agent de liaison du réseau sur Paris arrêté le 29 ou 30 mai 1942, avoue en effet sous la torture l'existence du réseau et fournit un certain nombre de noms. Il est 5 heures du matin quand trois officiers de la Sicherheitsdienst, habillés en civils français, arrivent chez Laure ; ils fouillent l'ensemble de la maison pendant trois ou quatre heures, puis l'arrêtent. ..."

GR 16 P 185362 | DIEUZAYDE ( Marc Antoine ) | 1877-06-13 | Toulouse | Haute-Garonne | FRANCE | FFc

Laurent Laloup le vendredi 20 décembre 2019 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


"... Les dénonciations de «Capri» touchent un nombre important du réseau Confrérie Notre-Dame. Les arrestations se déroulent en mai et juin 1942. 24 membres de ce réseau font partie de ces transports :

Pierre Mauger, Jean Gavard, Georges Marcou, Louis Deblé, René Dugrand, Jean Cayrol, Jean Lerat, Gérard Brieux, Jean Sarrazy, William Pillet, Ange Gaudin, Pierre Babillot, Louis Le Corre, Raphaël Touret, qui seront libérés à Mauthausen le 5 mai 1945.

Camille Papon qui sera également libéré le 5 mai 1945 mais à Güsen [Camille Papon est, en fait, décédé en avril 1945 à Gusen, quelques jours avant la libération du camp par les Américains]. René Gros libéré en avril 1945 à Buchenwald ou Dora, André Wackherr libéré, lieu et date non cités au Livre Mémorial.

Pierre Bellouard gazé le 24 avril 1945 à Güsen, Pierre Delattre mort à Güsen le 23 avril 1943, Roger Lassagne mort à Mauthausen le 10 juin 1943, Jean Berquin mort à Güsen le 5 mai 1945, Max Bertin mort à Güsen le 19 avril 1943, Jean Pelletier mort à Buchenwald le 29 mars 1945.

Un autre membre du réseau CND Castille, Pierre Cayrol, déporté à Sachsenhausen dans un convoi du 24 janvier 1943, est mort à Elrich le 19 mars 1945. ..."

amicalesablaise 

Laurent Laloup le vendredi 20 juin 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Dernière mise à jour le mardi 19 juillet 2022

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 22 7 2024  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.79 s  8 requêtes