Roger Augustin Eugène Grosjean alias François Perrin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Roger Augustin Eugène Grosjean alias François Perrin



Naissance : 25 juillet 1920 - Chalon-sur-Saône, Saône-et-Loire

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : juin 1943

Engagement dans la France Libre : Londres en aout 1943

Affectation principale : FAFL /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Lieutenant

Photographie datant de 1942

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 272174


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Roger Augustin Eugène Grosjean alias François Perrin - son Livre ouvert !
 

En mémoire d'un maître et d'un ami.

Ancien combattant de la seconde guerre mondiale et capitaine dans le cadre de réserve, je savais que Roger Grosjean bénéficiait à ces titres d’une estime unanimement partagée, notamment dans le canton de Petreto-Bicchisano qui avait été un important foyer de la Résistance. J’ai découvert sa carrière militaire en lisant sa biographie par son fils François, bien des années après sa disparition. L’énergie qu’il sût déployer dans son activité de chercheur me semble éclairée par ce passé que j’ignorais. Mon témoignage est dicté par la reconnaissance et l’amical souvenir de l’archéologue, génial inventeur de la civilisation préhistorique corse des sculpteurs de mégalithes.
Je revois encore traversant le village de Calvese sa petite voiture, qui tractait péniblement sur la route en terre une minuscule caravane blanche ovoïde. À la belle saison cet équipage s'installait chez mes cousins de Filitosa où Roger Grosjean mettait au jour depuis 1954, le plus grand complexe archéologique de la Corse pré- et protohistorique. En 1956, lors d'une visite scolaire du site, je fus confronté aux énigmatiques hommes de pierre qu’il avait exhumés, et dont on m’avait conté quelques légendes. Dès lors, les nombreux gisements découverts par Roger Grosjean me devinrent familiers. Passionné par l’histoire de la Corse, je lui dois mon intérêt pour sa préhistoire. Sans moyen de locomotion, c’est en compagnie du docteur Lucien Luciani et quelquefois avec Mme Bosc, la pharmacienne du canton, que j’ai visité les chantiers ouverts par Roger Grosjean. J’ai toujours le souvenir des studieuses excursions à Foce et Balestra, dans le Taravo ou à Torre, Tappa, Ceccia et Araggiu dans les environs de Porto-Vecchio. Dans cette belle région, Roger Grosjean s’installait avec son épouse dans le relatif confort d’un camping-car, sur une plage proche de Cala Rossa. Il pouvait ainsi, en même temps qu’il dirigeait ses chantiers dans les terres, utiliser un zodiaque mis à sa disposition par le CNRS afin de réaliser des investigations d’archéologie sous-marine.
C’est en 1965, aux archives départementales, que j'eus l'occasion de nouer une décisive conversation sur l'archéologie insulaire avec Roger Grosjean et Pierre Lamotte. Ils préparaient alors le congrès de la société préhistorique française à Ajaccio ; je ne savais pas encore, que j’allais y participer au printemps de l’année suivante. Ce fut mon professeur de philosophie Georges Peretti ami et collaborateur de Roger Grosjean, qui me proposa de l’accompagner à cette manifestation dans les salons de la nouvelle aérogare d’Ajaccio. Auditeur de dernière minute et bien que non inscrit, Roger Grosjean m’y accueillit avec bienveillance et générosité. Heureux d’avoir à m'encourager dans mes projets d'études supérieures il me présenta au couple d’universitaires Gabriel et Henriette Camps. Il m’offrit également la possibilité de participer au chantier de Filitosa sous sa direction et celle du professeur Enrico Atzeni. Le jeune universitaire cagliaritain, assistant de Giovanni Lilliu, y poursuivait alors la mise au jour d’un secteur d’habitat. Ces premiers travaux à Filitosa furent pour moi décisifs dans ma vocation d’archéologue. Enseignement, amitié, puis collaboration scientifique m’ouvrirent à la passion de la préhistoire des îles méditerranéenne.
Durant ces années nous nous retrouvions au sein de l'Association archéologique de la Corse, sous la présidence du professeur César Borelli, puis du médecin général Pascal-Pierre Santini, secondé par le numismate Roger Calvet. Nous abordâmes les années 1970, avec l’espoir qu’une direction des Antiquités préhistoriques fut créée en Corse, parallèlement à celle des Antiquités historiques. Nous envisagions aussi que la préhistoire corse, dotée d’un véritable musée auquel s’employait Roger Grosjean, soit enseignée au sein d’une future université insulaire. Espoir donc en une organisation efficiente de la discipline, dont le programme avait été tracé dès 1941 par Raymond Vaufrey, lorsqu’il écrivait en conclusion de sa réflexion sur L’organisation des recherches et des études préhistoriques en France : «… l’avenir de cette belle science française qu’est la Préhistoire, c’est que […] recherche, études, conservation […], ne sauraient être valablement dissociés […] ».
Hélas, au milieu de cette décennie et avant que ne se concrétise ce bel avenir, l’archéologie corse perdit deux de ses plus prestigieux représentants : Lucien Luciani, son porte-parole au sein de l’assemblée départementale et Roger Grosjean, son plus actif préhistorien.
Joseph Cesari
Conservateur général honoraire du patrimoine
Conservateur régional honoraire de l’archéologie et des monuments historiques de la Corse

Cesari Joseph le mardi 12 juillet 2016 - Demander un contact

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"DESCRIPTIF
Ballotté toute sa jeunesse de nourrices en pensionnats et familles d’accueil, François Grosjean a très peu connu ses parents. De Roger, pilote de chasse français, et de Sallie, une jeune Anglaise, régisseur de théâtre, il sait seulement qu’ils se sont rencontrés à Londres, lors de la Deuxième Guerre mondiale, et que leur relation a été éphémère…
A l’âge de 57 ans, il a donc décidé de partir à la découverte de ses parents méconnus… Une quête de 12 années a suivi, parfois difficile mais forte des témoignages écrits et retrouvés de Sallie et Roger ; une longue recherche, qui a révélé un couple passionné mais épuisé et déchiré en trois ans et demi seulement, la faute aux tempéraments et aux activités secrètes de chacun ; une investigation folle, qui a mené l’auteur dans le monde de l’aviation, de l’archéologie, de la haute couture, du sport hippique, du jazz et, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, de l’espionnage…"

Laurent le lundi 25 avril 2016 - Demander un contact

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My mother and father were rival spies - But in the Bond films the girls don't get pregnant

le 28 Avril 2014 

" Roger 'FIDO' Grosjean was a French double agent who spied on the Nazis for MI5 but little did he know his glamorous English wife Angela 'Sallie' Cross was also spying on him

The story sounds like just another whirlwind wartime romance. Dashing French fighter pilot meets British beauty in a London club in 1943. They fall in love, she leaves her job and takes his name, they move to the country and she becomes pregnant.

Yet Roger Grosjean and Angela Cross were not who they seemed to be – not to the outside world and not to each other.

Roger was a double agent, codenamed FIDO, who worked for British intelligence while pretending to spy for the Nazis.

But he had no idea his glamorous English wife had also been recruited by MI5... to keep him under surveillance.

That, at least, is what their son believes after 10 years of investigations – and he wants the British security services to admit it.

Francois Grosjean is convinced his parents’ relationship was manipulated by MI5 and that he and his elder sister, who had disrupted, unhappy childhoods, were “the unwanted consequences of a James Bond spy story gone wrong”.

Most of the files on Second World War spies have been released to the National Archives – but MI5 still won’t acknowledge FIDO’s existence, even to his son.

Francois believes they are still covering up the way young women were used to charm and spy on agents.

Francois, 68, says: “British Intelligence is always covered in glory... the glamour of James Bond, the gentleman spies. But this story really isn’t very nice and two innocent children were caught in the fall-out.

“I think MI5 want to prevent the truth coming out – that young English women were used like this during World War II.

“But I still hope one day it will. I believe my sister and I have a right to know who our parents really were and how this all started. The impact on our lives has been immeasurable.”

Francois, who lives in Switzerland and is emeritus professor of psycholinguistics at Neuchatel University, knew nothing of his father’s spy work until 30 years after his death in 1975. Roger, who won the French Legion of Honour, had left the air force in 1946 and became an archeologist.

In 2004 his second wife gave Francois a box of old papers which began to reveal Roger’s part in the British Double Cross (XX) System – one of the greatest intelligence coups of the war.

When Francois asked MI5 for details he was told: “We are not in a position to say whether we hold a record for your father. Any record we might have would be unlikely to be releasable in the foreseeable future.”

His mother, originally called Angela, became a top fashion model in France then Italy’s first female racehorse trainer. When she died in 2009 her papers convinced Francois MI5 had asked her to snoop on Roger, either before or just after their romance began.

He explains: “She was from London and at 19 was a theatre stage manager. She was always a bit of an actress and later had a small role in a film with Elizabeth Taylor”

In 1942, when Angela married a man called Peter Cross, the Germans invaded the previously unoccupied southern area of France and French fighter pilot Roger began making plans to join Charles De Gaulle’s resistance forces in London.

Francois says: “He used the pretext of spying for the Germans, who wanted him to steal a plane and fly it back. But as soon as he arrived he told the authorities it was just a ploy and he wanted to fight for Britain. He was taken on by MI5.

“He used to write letters dictated by intelligence officers, supposedly love letters to a woman in Barcelona, with secret messages between the lines in invisible ink.It was all very James Bond. The messages were a mixture of genuine and false intelligence to convince the Germans he was still working for them while persuading them the D-Day landings would take place at Calais and Dunkirk not Normandy.

“Then, in October or November 1943, he met my mother, who was working at the Free French Air Force Club in London. He was 23, she 22. But did she ‘meet’ him or was she introduced to him for a reason? Was she working there to monitor these French allies for the security services?

“Things happened very quickly. After just a few weeks, in Jan­uary 1944, Angela changed her name by deed poll to the French sounding Sallie Henriette ­Grosjean, although she probably didn’t speak the language then.

“My father was sent to Caistor airfield in Lincolnshire where he was allowed to fly to make the Germans believe he was getting ready to steal a plane.

“But MI5 would have wanted him watched... just in case. Perhaps that’s why they ‘placed’ my mother in his arms.

“She went to Caistor with him. He spent some months there but in March was moved to an office job in London – just as my mother became pregnant with my sister. That is where the James Bond story went wrong. In the movies the Bond girls don’t get pregnant.

“MI5 probably decided just to let things happen. But in May everything stopped. MI5 realised my father wasn’t effective as a double agent – either his information wasn’t getting through or the Germans knew he’d been turned. So he was sent to Algeria and Morocco for six months as an instructor.”

Francois adds: “Sallie stayed in Caistor and my sister was born. Her marriage to her first husband was dissolved a month earlier and she and my father later married.

“From Morocco he was sent back to liberated France and worked at the Air Ministry until the end of 1946.

“With my mother still onside I think MI5 let her and my sister join him in Paris. Civilian travel to France was not possible until May 1945 but she went in March. Why the privileged treatment?

“My sister went to her paternal grandparents in Northern France. But three months later Sallie was pregnant with me, even though their relationship was not the greatest. I know from my father’s diaries and letters that he really, really loved my mother but I don’t think it was reciprocated. I think she was just doing a job.

“In January 1947, when I was nine months old, my father left. They’d been together only two and a half years. My sister and I were put into foster homes and families or cared for by nannies then packed off to boarding schools. I even spent vacations with friends’ families.

“We always knew we were not wanted and never understood why our parents had married.”

Francois, a family man who dotes on his first grandchild, adds: “Sallie never showed any affection to my father and often denigrated him in front of us.

“I think she felt trapped. She had an easy surveillance job but we came along and it got messy. She was a difficult, unpleasant person and very unkind.”

My mother and father were rival spies - But in the Bond films the girls don't get pregnant

After his divorce Roger married again while Sallie became a star model for Paris fashion designer Jacques Griffe.

Later she met a rich businessman and moved to Italy where she began to breed and train horses. Francois was estranged from his mother but inherited her diaries and papers and began piecing together the story.

He said: “Since then, extensive evidence of my father’s role as FIDO has been published. He’s even mentioned in the diaries of Guy Liddell, MI5’s director of Counterespionage in the war.

“But MI5 refuse to release his file,
‘to protect former staff and agents’ most of whom, if not all, are dead.”

Francois appealed to a tribunal but it took MI5’s side.

He says: “I’m sure I am right about my mother too – but I only have circumstantial evidence so have not yet inquired about her.

“I fear the answer will be the same though. MI5 don’t want the truth to come out even after 70 years.

“Their embarrassment should be outweighed by the right of my sister and I to understand who our parents were and better understand ourselves.”

My mother and father were rival spies - But in the Bond films the girls don't get pregnant

The Home Office said yesterday: “We do not comment on matters of national security. It is a longstanding policy never to confirm nor deny whether someone was ever an agent.”



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laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact

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Ma contribution

Très beau site, bravo ! Merci de nous faire partager l'histoire de celui qui a fait notre Préhistoire.

Kewin Peche-Quilichini le mercredi 21 août 2013 - Demander un contact

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Pilote de tourisme

Avant de devenir pilote militaire, Roger Grosjean a passé son brevet de pilote de tourisme, obtenu le 18 juillet 1938 (n°11221). Il demeurait alors rue de Thionville, à Lille.

Didier Lecoq le jeudi 07 mars 2013 - Demander un contact

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Présentation du livre sur Roger Grosjean, écrit par son fils 

Jacques Ghémard le lundi 04 mars 2013 - Demander un contact

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Roger Grosjean 1943 (en Angleterre)

Jacques Ghémard le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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25/7/1920 Né à Chalon-sur-Saône, Saône-et-Loire. Fils de Joseph Eugène Marie Grosjean et d’Henriette Marie Boudet-Cauquil.
3/1939 Reçu au concours de l'Ecole de pilote de carrière de l'Armée de l'air.
3/1939-7/1939 Formation de pilote à Clermont-Ferrand et Ambérieu. Obtient son Brevet militaire de pilote d'avion le 21/6/1939.
Fin 1939 Nommé caporal puis sergent et affecté à l'Ecole principale de chasse d'Etampes. Pilote des MS 230, Dewatine 500 et MS 406. Sorti no. 2 de l'école.
5/1940 Accidenté sur Morane 406 (éclats de DCA).
1/4/1941 Affecté au Groupe de chasse (GC) 2/1 au Luc (Var).
24/9/1941 Accidenté sur Bloch MB 152 à Flassans-sur-Isole (Var). Panne moteur. Plusieurs mois d'hospitalisation et ensuite une longue convalescence tout le long de 1942.
20/10/41 Nommé sergent chef
20(23)/9/1942 Nommé sous-lieutenant.
Juin 1943 S'évade en Angleterre; passe par l'Espagne puis le Portugal.
2/7/1943 Arrive en Angleterre: Bromley, Camberwell et ensuite Royal Victoria School, Wandsworth.
6/8/1943 Rejoint les Forces Aériennes Françaises Libres (FAFL).
Jusqu'à fin 1943 Travaille pour l'Etat Major des Forces Aériennes Françaises Libres (bureau "Chiffre" et 2e bureau). Nommé Lieutenant le 20/9/1943.
1/1/1944 Présente les voeux des FAFL au peuple de France à la BBC.
Début 1944 "Refresher course" à Caistor, Lincolnshire (RAF).
Mai-juillet 1944 Travaille à Camberley (bureaux FAFL).
Fin juillet 44 Arrive à Alger et change d'identité; devient Perrin, François (pour un an).
7/8/1944 Affecté à la base aérienne de Meknès, Maroc (Centre d'instruction de la chasse), où il vole sur P 39.
21/12/1944 Affecté à la base aérienne de Lille.
1945 et 1946 Affecté au Ministère de l'Air (Paris), Direction des Ecoles.
30/12/1946 Dégagé des cadres de l'Armée de l'Air sur demande; promu capitaine de réserve.
1940-1952 Reçoit un certain nombre de médailles: Croix de guerre 1939-1944; Médaille commémorative des services volontaires dans la France libre; Légion d'honneur (chevalier);
1954 Entre au CNRS.
1954-1975 Fouilles archéologiques en Corse (monuments cultuels torréens, statues menhirs, dolmens, sépultures mégalithiques, etc.) accompagnées de publications diverses et nombreuses (revues spécialisées et médias grand public).
1964 Directeur du Centre de Préhistoire Corse.
1968 Président de la Société Préhistorique Française.
7/6/1975 Décède à Ajaccio (Corse) à la suite d'une crise cardiaque à Sartène.

Jacques Ghémard le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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La Corse avant l'Histoire

Jacques Ghémard le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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Filitosa, site préhistorique corse

" En 1954, Roger Grosjean (archéologue et chercheur au CNRS) est nommé délégué à la Culture à Ajaccio, il a 32 ans. On lui parle d’un lieu où dorment, parait-il, de curieuses pierres taillées. Rendez-vous pris, Charles-Antoine Cesari conduit l’historien sur le terrain où gisent ces étranges pierres. Roger Grosjean s’y rend et constate en plus une trace de construction ancienne, sorte de fortification. L’archéologue, ému, serre la main du propriétaire et lui confie : "Vous avez fait une découverte considérable, monsieur Cesari." ... "

Jacques Ghémard le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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Roger Grosjean

Le sous-lieutenant Roger, Augustin, Eugéne GROSJEAN est né le 25 juillet 1920. Rallie les FFL le 6/8/43. Engagé aux FAFL le 9 aout comme candidat pilote.

Bertrand H

Bertrand H le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 12 juillet 2016

 

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