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"Beret vert" du Cdt Kieffer " Bientôt le premier noyau du futur bataillon était formé : le Premier Maître Francis Vourch et seize hommes ; Dumenoir, dont la mort héroïque est racontée plus loin, Simon, carré et solide avec une tête de boxeur à la narine fendue, Taniou, pâle, mince, taciturne, mais doué de grande ténacité, Vandelaar, ex-légionnaire avec les défauts et qualités typiques du légionnaire, Jean, Français accouru du Brésil à l'appel du général de Gaulle, plein d'enthousiasme, pour aller délivrer la Mère Patrie occupée, et surtout Paris, la ville éternelle qu'il n'avait encore jamais vue, Loverini, petit et sec, tireur d'élite, le quartier-maître Taverne, de la vraie et vieille école des " saccos ", Corbet, grièvement blessé plus tard à l'entraînement à l'École des Commandos, Le Guen, plein de bonne volonté, mais très tôt éliminé pour incapacité physique, Errard, dit " crâne d'obus ", plus tard transféré aux parachutistes, Nicot, vrai hercule de foire au coeur d'or, et cinq autres punis devenus volontaires pour les commandos et qui devinrent plus tard d'excellents Bérets verts." Laloup laurent le lundi 25 février 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |