| | | | | Un Français Libre parmi 62943 | | | François Charles Marcel Thierry Mieg | |
Naissance : 18 novembre 1908 - Paris 8e
Activité antérieure : liberal / cadre
Engagement dans la France Libre : en aout 1941
Affectation principale : BCRA /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 86 ans - 30 septembre 1995 - Chatou (78)Fils de Marcelle Hervey
Frère de Claude Thierry Mieg
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 568521
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 49572 |
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François Charles Marcel Thierry Mieg - son Livre ouvert ! In Memoriam François Thierry Mieg Photo : François Thierry-Mieg décoré par le général de Gaulle.
Source : In Memoriam François Thierry-Mieg (Revue de la France Libre, 1995) publié sur le site des Compagnons et Français Libres du Havre Roumeguere le samedi 12 mai 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Revue de la Fondation de la France Libre n° 59 – mars 2016
PDFwww.france-libre.net › uploads › 2014/01
Il y a 70 ans était constituée l’Association des Français Libres
" Constituée dès le 21 juin, la commission des statuts se compose, d’une part, de juristes, d’autre part, de représentants des différentes armes – le capitaine Antoine Saville pour l’aviation, François Thierry-Mieg, alias le capitaine Vaudreuil, pour le BCRA, le commissaire en chef Jean-Marie Arnoulx de Pirey ou l’officier d’administration principale Robert Bervard pour la marine, etc. – et de groupements de Français Libres – Vigneron pour l’association des Premiers Compagnons, le capitaine François Marion, secrétaire général de l’ordre de la Libération, pour les compagnons. L’aide d’un maître des requêtes, spécialiste de la question des statuts d’associations, est sollicitée auprès du vice-président du Conseil d’État, René Cassin." Laloup Laurent le mercredi 04 avril 2018 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Généalogie " François Thierry-Mieg
Né le 18 novembre 1908 - Paris VIII
Décédé le 30 septembre 1995 - Chatou, Yvelines , à l’âge de 86 ans
Industriel. Administrateur de sociétés, administrateur de la Compagnie du Niger français
Parents
Gustave Adolphe Thierry-Mieg 1879-1938
Marcelle Catherine Hervey 1885-1945 (Résistante. Morte en déportation)
Marié le 29 août 1934, Le Havre, Seine Maritime, avec Denise Kronheimer 1911-1988 (Parents : Charles Félix Kronheimer 1867-1944 & Rachel Berthe Fournié 1878-1951) (témoins : Maurice Paul Hervey 1855-1936 , Charles Edouard Rufenacht 1899-1962 , Philippe Roy 1887- , Marcel Reinhart 1899-1979 )
Fratrie
H Henry Thierry-Mieg 1911-1939 Marié le 30 décembre 1935, Le Havre, Seine Maritime, avec Nicole Dennis 1913-2008
F Claude Antoinette Thierry-Mieg 1917 " Jacques Ghémard le jeudi 28 septembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Correctif Mon prénom est Yves, un des fils de François TM et neveu de sa soeur Claude également engagée dans la France Libre mais à l'intérieur (réseau de Rémy).
Mon père François a obtenu le grade de Capitaine, c'est lui qui est sur la photo de groupe 4è à partir de la gauche et non pas Claude (sa soeur).
Dans le texte "les hommes partis de rien" le prénom de Crémieux Brilhac est Jean Louis et non Paul, enfin mon père n'est pas revenu dans les réseaux de l'intérieur il est resté attaché au BCRA à Londres jusqu'à la libération de Paris à laquelle il a participé. THIERRY-MIEG le dimanche 16 janvier 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les services secrets du général de Gaulle / Sébastien Albertelli " A Gibraltar, François Thierry-Mieg, alias Jacques Vaudreuil, prit la tête de la mission de la France combattante en juillet 1942. Il était bien placé pour observer les préparatifs d'une opération de grande envergure en AFN. Billotte et Philip lui donnèrent des instructions pour le cas où les Alliés « effectureraient avec succès une opération militaire de débarquement au Maroc français dans le courant de l'automne » sans prévenir les FFC. Soucieux que la France combattante soit présente, même si elle n'avait pas eu le temps d'établir « un réseau sérieux», ils le chargèrent de demander au plus vite à des officiers ou fonctionnaires gaullistes de se présenter au commandement allié, dans chaque localité, « en excipant de leurs titres de délégués locaux du Comité national», afin de lui faciliter la tâche et de marquer la présence de la France combattante. En septembre, malgré les dénégations alliées, Vaudreuil assura qu'une opération couvait en Méditerranée, où l'on procédait à «des manœuvres très secrètes de barques de débarquement »" Laurent le samedi 17 octobre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Deux Thierry-Mieg dans la France libre Renseignements provenant de
Prisonniers de la liberté : l’odyssée des 218 évadés par l’URSS, de Jean-Louis Crémieux-Brilhac
Francois Thierry-Mieg , né le 18 novembre 1908
Grade puis profession en 1941 :
Sous-officier
Fondé de pouvoir Laurent Laloup le samedi 21 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Prisonniers de la liberté : l’odyssée des 218 évadés par l’URSS, de J.-L. CRÉMIEUX-BRILHAC : Laurent Laloup le samedi 21 février 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Photographie de cinq des 186 Français libérés des prisons soviétiques qui s’engagent dans la France libre à Londres, septembre 1941. Collection particulière Jean-Louis Crémieux-Brilhac
De gauche à droite : Jean-Louis Crémieux [dit Brilhac] et Jean Richemond [dit Bozel] futurs membres du commissariat national à l’Intérieur (CNI) qui dirige l’action politique en France – Pierre Billotte, futur chef de l’état-major particulier du général de Gaulle – François Thierry-Mieg [dit Vaudreuil], futur chef du service de contre-espionnage de la France libre – Henri Clastère [dit Claye], bientôt parachuté en France pour une mission de sabotage.
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"Les Hommes Partis De Rien" de René Cassin " Parmi les conséquences concernant la résistance extérieure, il faut citer l'arrivée en septembre 1941 à Carlton Gardens de 186 officiers et soldats français faits prisonniers par les Allemands et libérés par les troupes russes. Leur regroupement avait été assez difficile. Mais ils avaient manifesté auprès de Staline une si ferme volonté de reprendre le combat aux côtés du général de Gaulle, que le premier avait pu les faire partir par Arkhangelsk sous la direction du commandant Billotte.
Parvenus à Londres, nos compagnons ont rendu aussitôt les plus grands services. Billotte est devenu très vite le chef de l'état-major du Général ; Paul [Jean-Louis en réalité] Crémieux Brilhac a donné à l'Information, un vigoureux appoint ; Bozel a été une des chevilles ouvrières de services communs ; Thierry Mieg (Vaudreuil) est devenu, avec Boris, auprès de Diethelm, un des deux piliers de l'Intérieur, dont il a organisé les nouveaux locaux." Laurent Laloup le jeudi 19 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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