Jacques Marcel Zermati - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Marcel Zermati



Naissance : 18 mars 1917 - Marseille (13)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Tunisie en mai 1943

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 98 ans - 10 janvier 2016 - Neuilly-sur-Seine (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 607135

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 53130

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Jacques Marcel Zermati - son Livre ouvert !
 

"Hannah Zermati, son épouse,
Michèle et Adrien Boros, Elsa et François Calando, ses filles et gendres, Emmanuel et Lina, Mikaël, Laurent, Tania, ses petits-enfants,
ont la tristesse de faire part du décès de
Jacques ZERMATI officier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945,
survenu le 10 janvier 2016, à l'âge de 98 ans."

"L'association Qui Ose Gagne a le regret de faire part du décès de Jacques ZERMATI, Ancien SAS BP 3365."

Jacques Ghémard le lundi 11 avril 2016 - Demander un contact

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monsieur Jacques ZERMATI

Voir tout mon travail sur MORIAL a la rubrique sur la gauche la page de MORIEL en israel, Operation TORCH,
Gozlan Lucien

gozlan lucien le mercredi 20 février 2013 - Demander un contact

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Réponse :

Le lien vers la page citée  ou l'on voit le nom de ZERMATI Jacques parmi ceux qui ont occupé la Préfecture d'Alger le 8 novembre 1942

Merci !
Jacques Ghémard


neuveu

Neuveu d'un oncle que je n'ai jamais connu .
Bien respectueusement Charles Barkatz .

barkatz charles le mercredi 12 décembre 2012 - Demander un contact

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Il a été mon patron de 1978 à 1981 en tant que Secrétaire Général de Rank Xerox et m'a raconté l'épisode de l'arrestation du Préfet d'Alger et d'autres. C'était quelqu'un de drôle et plein d'humour.

Chantal

chantal MATHIEU le mardi 28 juin 2011 - Demander un contact

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D'après mes informations, les 4 jeeps font un premier passage sans problème mais au lieu de traverser le bourg, l'itinéraire est bloqué et elles doivent faire demi-tour. D'après le témoignage d'Alexis Beaude, membre d'équipage de la jeep Tramoni, ce n'est qu'au retour que les pertes commencent avec la destructions des jeeps de Roquebrune (lieutenant Guy de Combaud Roquebrune - S/LT J. Magdelaine - JP Pache - Ch Seither) et Benhamou (Adjt/C J. Benhamou - Sgt G. Djian - L. Djian - FFI F. Nectoux) puis la mort de Barkatz et Lombardi, détachés du stick Zermati et du sous-lieutenant Pierre Aubert-Stribi, jeep détruite par le tir d'un canon AC.
Seuls le sergent-chef J. Tramoni, A. Beaude et P. Bailleux parviennent à s'échapper.

David Portier 

Laurent le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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Soustelle Jacques "Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )"

" Il n'entre pas dans mon dessein de relater ici les événements d'Afrique du Nord le 8 novembre et les jours suivants. Plusieurs témoignages valables ont été publiés à ce sujet. Le 8 novembre se révéla une vaste journée des dupes. Avec un cran extraordinaire, les José Aboulker, Guy Calvet, Jacques Zermati, capitaine Pillafort, Mario Faivre, lieutenant Dreyfus, — en tout près de quatre cents jeunes gens — occupèrent les points stratégiques de la ville, notamment le Commissariat central où Calvet, avec un calme inouï, prit le téléphone pour donner à la police ses nouvelles instructions. "

laurent le mardi 08 septembre 2009 - Demander un contact

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Jacques Zermati

"ASSOCIATION DE SAUVEGARDE ET DE MISE EN VALEUR DU PARC DE MAISONS LAFFITTE" 

Laurent Laloup le mardi 13 mai 2008 - Demander un contact

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La laborieuse recupération de la préfecture par les forces vichystes

"Vers 10 h 30, Zwinglin, qui apparemment avait changé d'avis (après tout il n'avait plus de nouvelles de Giraud, alors que Darlan, lui, était bien là), se présenta devant la préfecture, avec son escadron, et tenta d'en obtenir la reddition. Les chefs de groupe, Jacques Zermati et Sadia Oualid, en avertirent José Aboulker au Commissariat central. Celui-ci vint alors en renfort, lui-même, avec un groupe de résistants répartis dans 5 voitures, et reprit la négociation avec le colonel. Le but était toujours de retenir les gardes mobiles un maximum de temps, au profit des alliés. Or Aboulker portait en évidence, accrochée à l'épaule, une mitraillette Sten que Murphy lui avait remise, comme échantillon des 750 autres qui auraient du être livrées, mais que les conjurés avaient vainement attendu sur les plages. "

fr.wikipedia.org 

Laurent Laloup le mardi 13 mai 2008 - Demander un contact

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www.sennecey1944.com 

"(1) Itinéraire des convois allemands
(2) Itinéraire du peloton de jeeps SAS de Guy de Combaud
(3) PC du maquis à Corlay
(4) Position donnée à la section Arragon ( Mornat, Vachey, Létienne, Bourgeon, Krumenacker Boyenval, Maurice)
(5) Position donnée aux sections Ballet et Janodet ( André, Thibert, Baron, Lesne, Montaron, Bichard, Faudot, frères Renaud, Laurain, Holzman, Rostaing, Holzhauser, Papillon, Thomasset, Manuel, Bataillard, Petit, Grelin, Cretin, Kroume, Gaudillière, Ollivier, Bidaut, Balay, Jacquet, Lamé )
(6) Position donnée à la section Desbois-Gaudillot (Martineau, Christian, Grandjean, Jandot, Prost, Perron, Monnier, Pichery, Pigelet, Sassot )
(7) Position donnée à la section de Beaumont
(8) Position donnée à la section des cheminots commandée par Joubert ( Boursier, Trastour, Lecharpentier, Goujon)
(9) Position donnée au maquis de St Gengoux encadré par des SAS (Boissonas, Zermati, Porot, Lacour, Dessendre, Rancier, Drillien, Montel, Laurent, Rebillard, Rabo, Régnier)
(10) Défense allemande sur colline de Laives et contre-attaque
(11) Accident de la dernière jeep SAS
(12) Destruction des 3 jeeps SAS

AUTRES PARTICIPANTS A LA BATAILLE : Ballet Jean, Berget Paul, Bonnet Paul, Laurent Georges, Cléaud Henri, Deschamp François, Guibert André, Régnier Jean, Jaurant-Singer Marcel, Leroy Guy, Mazoyet Jules, Meuriot Raymond, Montel Célestin, Morain Charles, Picque Rémy, Provenza Marcel, Rigoulot Jean, Rabo."

Laurent Laloup le mardi 13 mai 2008 - Demander un contact

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Archives de l'IHTP

www.ihtp.cnrs.fr 

"ARC 1000, n° 5 - Jacques Zermati

Témoignage : « Les “désertions” d’hommes de l’armée d’Afrique en Algérie vers la 1re Division française libre, en Tripolitaine, printemps-été 43 ». "

L. Laloup le dimanche 02 mars 2008 - Demander un contact

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"... Toujours pas d'Américains en vue ?... Avons-nous gagné ?

Oui, puisque, comme on le saura plus tard, ils ont pu finalement débarquer sans coup férir et occuper Alger le soir même.

Non, parce que, gaullistes, nous avons en fait ouvert la voie à une démarque de Vichy, d'abord avec Darlan puis avec Giraud, tout cela avec la bénédiction des Américains pour lesquels nous avons tiré les marrons du feu, Le préfet Temple est à nouveau tout puissant dans sa préfecture.

Quelle merveilleuse nuit des DUPES! Mais, ce soir vers vingt heures, j'aurai vu pour la première fois dans la rue des Américains, assis dans de drôles de petites voitures carrées, un drapeau flottant sur leurs véhicules. Ils étaient manifestement sur le qui-vive dans cette rue déserte, prêts à tirer. Ils ne savaient sûrement pas qu'il n'y avait aucune chance que cela se produise et que nous y étions pour quelque chose."

arri.fr 

L. Laloup le dimanche 02 mars 2008 - Demander un contact

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www.arri.fr 

" Par Jacques ZERMATI *

L’intervenant nous a conté avec émotion et humour une histoire « pleine de bruit et de fureur », la sienne dans cette Algérie où, officier français blessé, de confession juive, il se découvre « sujet » et non plus citoyen français du fait de l’abrogation du décret Crémieux (24 octobre 1871), voit les biens de sa famille placés sous séquestre, interdit d’activité dans la fonction publique.

L’Afrique du Nord pendant la Révolution nationale. Les Français d’Afrique du Nord refusent d’abord la capitulation. Prêts à continuer le combat en juin 1940, le général Noguès et l’armée d’Afrique acceptent par discipline l’armistice « le rouge au front ». Quelques semaines plus tard, l’Afrique du Nord est devenue pétainiste ! La Révolution nationale a conquis l’AFN : les minorités espagnole d’Oranie et italienne du Constantinois, favorables à Franco et Mussolini, se tournent vers la collaboration ; les colons, par peur des « rouges », font de même. Les « Arabes », dix fois plus nombreux, sont muets.

Les « résistances » se préparent. Jacques Zermati découvre de Gaulle dont il n’avait jamais entendu parler, il veut se battre mais comment le faire à Sétif ? Un décret impérial de 1865 lui permet de recouvrer la citoyenneté française et sa croix de guerre lui ouvre la faculté de droit d’Alger ! Rejoindre la résistance n’est pas facile, il intègre le réseau dit « du 8 novembre » au sein duquel il devient l’adjoint de Raphaël Abouker. Arrêté à Sétif, lors des vacances d’hiver 41-42, il est libéré grâce à l’intervention d’un membre de son réseau, le commissaire de police Achiary. Les « résistances » s’organisent à Alger : à côté des réseaux de l’Intelligence service et de l’OSS, coexistent le réseau « Combat », pour la propagande, et le « réseau du 8 novembre », tourné vers l’action, qui fusionneront le 7 novembre.

Le « réseau du 8 novembre ». Les hommes qui le composent viennent de milieux divers : gaullistes, républicains, maurassiens antisémites, anciens cagoulards, militaires d’active, policiers, industriels, juifs, arabes – peu nombreux à dire vrai - mais tous sont des patriotes « désireux de rendre au pays son honneur perdu ». Le réseau, bien cloisonné, restera inconnu de la Direction de la Surveillance du Territoire jusqu’au 8 novembre ! Dirigé par le Groupe des Cinq, sa tête pensante, il comprend, suite à un accord négocié avec elle une base combattante, qui s’est développé indépendant et aura pour objectif de neutraliser les points sensibles principaux, civils et militaires d’AFN. En 1942, Jacques Zermati tentera, sans succès de rejoindre la France libre d’abord en avion depuis Sétif puis en essayant de détourner un bateau !
Les préalables à un débarquement. Pourquoi débarquer en AFN ? Les Américains veulent un choc direct en Europe, les Anglais préconisent son encerclement. La décision est prise en juillet 1942 de débarquer à Alger, Oran et Casablanca, sous commandement américain, en maintenant de Gaulle hors du coup. Les Américains comme le Groupe des Cinq, savent en effet que le succès militaire du débarquement repose en grande partie sur la neutralité bienveillante de l’armée d’Afrique farouchementanti-britannique et anti-gaulliste. Pour l’obtenir il faut recruter

Giraud, faute de mieux, Weygand ayant refusé.

Les étapes de la négociation. Dès mai 1941, le « Groupe des Cinq » adresse aux Américains une série de notes qui restent sans réponse. En octobre, le consul américain Robert Murphy obtient les pleins pouvoirs et l’accord pour remettre sur pied l’armée d’Afrique (100 000 hommes mais...sans arme). Le 24 octobre, le général Mark Clark, commandant en chef adjoint de l’opération Torch, débarque à Cherchell dans des conditions acrobatiques. Il approuve la note rédigée par le lieutenant-colonel Jousse qui prévoit le débarquement des Américains à Alger ; des armes pour la résistance mais il n’indique pas la date de l’opération. Le Groupe des Cinq tente de convaincre le général Giraud de rejoindre « son poste », celui-ci hésite puis gagne Gibraltar le 6 novembre en sous-marin.

La prise de contrôle d’Alger. L’avis de débarquement est transmis le 7, l’ultime réunion se déroule à 17 heures. Le mot de passe sera : « whisky, soda », des brassards de VP (« volontaires de place ») sont distribués aux hommes. Les groupes prennent position vers minuit. Le détachement commandé par Jacques Zermati, dans son uniforme d’aspirant, doit prendre la préfecture, neutraliser le préfet et son administration. Avec de vénérables fusils Lebel, les résistants entrent dans la préfecture grâce à un ordre de mission du général Mast et… à deux agents de police trompés par les apparences. Le préfet menace de faire fusiller les assaillants, la préfète fait du café et du thé pour tout le monde dans le grand salon… A une heure du matin, la Résistance est maître d’Alger.

Le débarquement a lieu le 8 vers 2 heures du matin. Depuis la terrasse de la préfecture, Jacques Zermati assiste à un échange de tirs au niveau du port ; 35 000 Américains (dont des Britanniques en uniforme américain pour ne pas exacerber le sentiment anglophobe nourri par Mers El - Kébir) débarquent l’arme à la bretelle mais ne pénètrent dans Alger que l’après-midi. Leurs pertes se limitent à des accidents de navigation des péniches de débarquement. Les Américains traitent le 9 novembre avec l’amiral Darlan. A la pagaille française succède la pagaille américaine… A Oran et au Maroc, où débarquent les hommes du général Patton, les choses seront plus difficiles : des officiers d’active occupant des postes de responsabilité dans la résistance, ont tenu informés leurs chefs qui … ont ordonné à leurs troupes d’ouvrir le feu… sur les Américains.

Conférence Témoins de l’Histoire - .
Notes de François Toussaint.

* Jacques Zermati est mobilisé en 1939, découvre la métropole avec la campagne de France ; blessé grièvement, il est fait prisonnier, s’évade et rejoint l’Algérie en décembre 40. Après la guerre, il est administrateur judicaire à Sétif avant de s’établir à Paris en 1962. Il sera secrétaire général de Rank Xerox France jusqu’en 1980. Jacques Zermati est un des premiers à avoir rejoint André Cruziat et Alerte aux Réalités Internationales. "

L. Laloup le dimanche 02 mars 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 11 avril 2016

 

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