| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Charles Pierre Verny | |
Naissance : 7 aout 1922 - Paris 16e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en septembre 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / Navarre
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 73 ans - 29 décembre 1995 - Paris 5e
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 300561
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 51565 |
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Charles Pierre Verny - son Livre ouvert ! Rapport avec Jacques Briffaut. Je cherche à savoir si Charles Verny était au côté de Jacques Briffaut à Stassfurt. Tous deux ont été responsables de l'OCMJ. Merci pouyet le lundi 14 août 2023 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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bcp de fautes d'ortographes..; et je n''ai pas tout dit cher Maitre, désolée pour les fautes, je ne me suis pas relue.... cette anecdote est minime et beaucoup d'autres suivent,c'était entre 1974 et 1979.... j'ai revu c.. votre fils après mon bac ou après mon retour de l"étranger.....chose bizarre, je ne vous reconnais pas sur les photos. bien à vous. maitre Verny, vous, que je ne nommais pas. vous m'avez nommée Verny sur mon texte, je m'appelle Laurence sur le texte Maitre Verny du 4 juin. peut être encore des fautes... laurence le lundi 06 juin 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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maitre Verny Cher maître, et père d'un de mes grands copains d'enfance, merci. C'est grâce à vous et à Mr Agostini que j'ai aimé l'histoire à Aumont en Halatte où vous avez vécu longtemps, vous nous emmeniez dans votre Autobianchi en forêt et on riait avec vos 2 plus jeunes fils dont je tairai le nom, on faisait du 'rodeo' et moi j'arrivais tous les matins chez vous, vous m'emmeniez à l'école, et je n'avais aucune conscience de qui vous étiez, mais je vous aimais simplement, inconsciemment j'avais compris que vous étiez un grand homme. Mais j'ai regretté que personne ne m'ait annoncé votre décès. Je l'ai appris par hasard un jour sur internet, et ce jour m'a pesé. On vous appelait maître Verny, moi, enfant, je ne me souviens plus comment je vous appelais, pas maître, pas Charles, pas monsieur, je crois que je ne vous appelais pas, je ne parlais pas à cette époque, trop plantée par ma gd mère maternelle et ma mère, je me suis tu comme vous, sans la destruction nazie que vous avez vécu cher maître Verny, je vous nomme mais ayant vécu avec vous jamais je ne vous ai nommé. vous n'aviez pas besoin de nom, votre présence suffisait. maintenant que vous êtes parti je peux vous dire simplement maître Verny vous me manquez. verny le samedi 04 juin 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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L'epoux de Françoise Verny ? "....Née à Neuilly en 1928, fille de médecins, Françoise Delthil s'inscrit au parti à 15 ans ; elle le quittera dix ans plus tard. Elle épouse l'ancien résistant et déporté Charles Verny. Ils partent en Algérie au moment où, en 1954, la guerre éclate. Ils rencontrent Germaine Tillion. L'Algérie marque Françoise Verny. Son militantisme «du côté des révoltés» et contre la guerre va aussi lui permettre de nouer de nombreuses amitiés. Agrégée, encouragée par Gaston Bachelard et Henri Gouhier, elle prépare, de retour en France, une thèse en histoire des idées religieuses. Mais l'enseignement, le CNRS l'ennuient. Devenue journaliste, elle entre chez Grasset en janvier 1964. Elle y devient une grande éditrice...."
liberation.fr Laurent le samedi 27 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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J'ai connu Charles Verny quand j'étais enfant et jeune fille Mon père, Michel Habib-Deloncle, a longtemps été son meilleur ami, jusqu'à ce qu'ils s'éloignent l'un de l'autre pour des problèmes personnels. Mon frère Louis était son filleul.
Charles était un homme d'une grande culture et un extraordinaire conteur. Aux jeunes gens que nous étions, il a raconté sa déportation sans l'édulcorer mais sans faire de spectacle. Je crois que ce qu'il voulait, c'était nous montrer de quel mal absolu l'être humain était capable mais aussi de quelle force absolue un autre être humain pouvait combattre ce mal.
Charles aimait les enfants. Nous avons passé plusieurs étés avec lui et son fils Jean-Pierre, un adorable petit garçon.
Il nous amenait aussi de temps en temps d'autres de ses filleuls ou filleules car nous étions, comme celle dont il était issu, une famille nombreuse.
C'était un chrétien (pas un bigot pour autant). Je l'aimais bien. Marie Hautefort le lundi 23 juin 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Mon grand-oncle, le frère de mon grand père, qui parmis des milliers d'autres, fait l'honneur de la patrie républicaine des francais, un exemple à suivre, le don de soi et le martyr allait de soi pour ce chrétien et citoyen fervent, pour qui le prix de la liberté valait d'etre payé jusque dans sa chaire et celle de sa fratrie, paix à son âme. C'est bien le souvenir de ces gens là qui nous fait aimer éperdument le peuple de France Grégoire Verny le vendredi 15 novembre 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Charles Verny était mon parrain Mon pére Marc Belloc faisait parti du réseau Navarre ainsi que ma mére Jeannine de Brousse.
Il me parlait peu de ses années de camp , mais je l'ai vu souffrir des tortures qui lui fut infligées , notamment des ongles arrachés je l'ai vu une fois torse -nu , son corps n'était que cicatrices.. Il m'avait semblé comprendre qu'il avait été interné à Buchenval , aprés son arrestation place du Tertre à Montmatre où il avait rendez-vous avec mon pére Marc Belloc, lui même retardé par des controles de la police allemande. vincent belloc le dimanche 27 janvier 2013 Recherche sur cette contribution | |
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"...De son coté Eluard a souligné que l’oubli était une seconde mort pour nos camarades disparus. La vérité doit être vivante. Cela la rend présente et constante. Il me souvient souvent de ce que disait « Alphonse « qui quelquefois était « François », en fait je su, plus tard, à son retour de Buchenwald qu’il était Charles VERNY quand il évoquait ce risque de l’oubli. Après les arrestations du printemps 43 de MEDERIC et de MUTTER de « Ceux de la Libération - Vengeance » et ayant pour ma part, de façon quasi miraculeuse pu quitter Fresnes et le régime de coups des miliciens, j’avais été récupéré par l’O.C.M.J. dont VERNY était le patron fondateur. Il manque beaucoup en mai juin 44, ainsi que ses adjoints Éliane JEANNIN et Henri LEROGNON, au moment des affectations dans le maquis. Leur place est-elle déjà vide ? elle était déjà la place du NON !
..."
www.memoresist.org Laurent Laloup le mardi 03 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Charles Verny ? "...Dans le quartier latin, on organise des groupes de 5 à 6 sous la désignation " OCM des jeunes. " Ils sont dirigés par " Philippe ", un étudiant en droit, monté d’Aix en Provence, qui n’est autre que Charles VERNY. On dressera des plans des galeries sous le Luxembourg et sous les catacombes avec des égoutiers..."
www.memoresist.org Laurent Laloup le mardi 03 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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