Un Français Libre parmi 62924
 

Louis Jean Vermorel

Louis Jean Vermorel - son Livre ouvert !
 

Le Jour 18 juin 1941 

Laurent Laloup le mardi 26 novembre 2019 - Demander un contact

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"... trois rédacteurs politiques, J.P. de Dadelsen, agrégé d'allemand déjà nommé, Georges Fried dit Frank, juif russe naturalisé, et Louis Vermorel, Français de San Salvador, tous trois engagés militaires dans les Forces françaises libres,..."

Archives du service de diffusion clandestine en France du Commissariat natio 

Laurent Laloup le mardi 01 octobre 2019 - Demander un contact

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Correction concernant Bertrand sur page de Vermorel

J'ai retrouvé le texte originel d'où vient l'extrait de Laurent Laloup du 12 septembre, et j'ai pu vérifier d'autres noms qui figuraient sur la liste du personnel. Il s'agit de Pierre Bertrand (et non d'André Bertrand). Pierre Bertrand par la suite a travaillé à l'Ambassade de France à Londres, puis au "Figaro" à Paris.

Mais je ne pense pas qu'il s'agisse de Pierre Prosper Bertrand qui figure sur ce site (  )...Quelqu'un saurait-il me confirmer?

Avec ma considération,

Odile Frank

Odile Frank le samedi 23 décembre 2017 - Demander un contact

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Quelques détails

Je suis intriguée par l'enveloppe. En fait, il s'agit du Camp de " Old Dean" qui servait de camp d'instruction des FFL à Camberley. J'essaierai de joindre ici son drapeau que j'ai en image.

Mon père, Georges Frank, a travaillé avec Louis Vermorel de 1942 à 1943 à Londres. J'ai une liste du personnel de la "Maison" où figurent Paul Antier, Georges Boris, Francis-Louis Closon, Brilhac, André Bertrand, Louis Jean Vermorel et Georges Frank ainsi que Mesdames Madeleine Le Verrier et Janine Serreulles.

De surcroît, voici ce que j'ai trouvé dans le livre d'or de Claude Bouchinet Serreulles, l'époux de celle-ci, dans son livre d'or, grâce à Laurent Laloup que je remercie ici sincèrement pour son grand travail de recherche que je retrouve maintes fois. Ce commentaire de lui date du mardi 12 septembre 2017 seulement.

Claude Bouchinet Serreulles - son Livre d'or

Archives du service de diffusion clandestine en France du Commissariat national à l'Intérieur (1942-1944)

"... Le changement d'équipe dirigeante du commissariat national à l'Intérieur (André Philip, Georges Boris et temporairement Louis Closon remplaçant Diethelm, Richemond, Pillet-Will), puis la venue à Londres d'Emmanuel d'Astier de La Vigerie et d'Henri Frenay furent un stimulant décisif. Aux dossiers documentaires destinés initialement à Jean Moulin et aux trois mouvements de zone Sud : Combat, Libération et Franc-Tireur, s'ajoutèrent des lots de brochures destinées à la Résistance : la première, intitulée le Problème de l'Alsace-Lorraine fut rédigée par Madeleine Le Verrier. Trois brochures d' Informations générales furent camouflées sous la couverture postiche du bulletin du Secrétariat d'Etat aux Affaires Etrangères de Vichy. Les envois se succédèrent à chaque lunaison jusqu'à juin 1944 et leur préparation nécessita la création d'un service spécialisé comprenant, outre le personnel d'exécution : - une secrétaire de direction, secrétaire administrative du service, Doreen Mulot, franco-britannique, - trois rédacteurs politiques, J.P. de Dadelsen, agrégé d'allemand déjà nommé, Georges Fried dit Frank, juif russe naturalisé, et Louis Vermorel, Français de San Salvador, tous trois engagés militaires dans les Forces françaises libres, - deux conceptrices maquettistes auxquelles sont dus la plupart des tracts illustrés, Janine Serreulles, née Raynaud, femme de Claude Bouchinet-Serreulles, et Alix d'Unienville. ..."

Laurent Laloup le mardi 12 septembre 2017

Je suis ravie d'avoir connecté Georges Frank et Louis Jean Vermorel

Odile Frank le vendredi 01 décembre 2017 - Demander un contact

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Réponse :

Georges Frank 

Alix Michelle Marie Marrier d'Unienville 

Rien trouvé sur l'épouse de Bouchinet Serreulles

LE COURRIER DES AUTORITÉS ET DES MILITAIRES FRANÇAIS
DE, ET VERS LA GRANDE-BRETAGNE
1940-1945

Laurent Laloup le mardi 12 septembre 2017 - Demander un contact

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Louis Vermorel

Né à Santa Ana , le 5-10-14

Laloup Laurent le mercredi 29 avril 2009 - Demander un contact

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"My father was born in 1914 at Santa Ana in Salvador. When seven years old he was sent to a Jesuit boarding school in France. He attended the University of Paris and qualified as an industrial chemist. In Paris he associated with the intellectual right, befriending the politically minded anthropologist Jacques Soustelle with whom he went on an archaeological expedition excavating Aztec sites. Eventually he resettled in Salvador, married and had a daughter. This marriage had broken down however, when he was called up in 1939.

Following the collapse of France, Louis’ unit was evacuated south and with 32 other soldiers he unsuccessfully tried to embark for England from Saint Jean de Luz, a Basque fishing port. After demobilisation he stayed with relatives in Savoie and joined a resistance group at Chambery. Louis eventually escaped France by getting permission from the Vichy authorities to return to Salvador, a neutral country. He travelled via Martinique and spent a month in Haiti before reaching Salvador. Here he formally enlisted with the Free French and set sail once again, this time for Liverpool. He arrived in the UK on 10th July 1941 and travelled to London to join de Gaulle’s forces.

On arrival in the UK, like many refugees, he was interrogated by MI5 at The Patriotic School, Wandsworth. The interrogation is included in a recently declassified SOE file which also reveals that Louis was trained by the SOE as a commando, was considered for secret service work in Spain, and may have been sent into France on clandestine operations.

Whilst he relished playing soldiers with me on the living room carpet, specialising in ambushing my troops from behind table legs, Louis was reticent about his wartime experiences. He had certainly seen combat, as he had small pieces of shrapnel embedded in his left arm. These would occasionally move around, causing acute pain.

After the war, Louis worked with J-L Cremieux-Brilhac in setting up the French ministry of Documentation. He was put in charge of photographic documentation. Then, to everyone’s surprise, in 1948 he suddenly left what promised to be a splendid career and returned to London. Although he always said this was because of the instability in France, shortly before leaving he’d published at his own expense a political magazine which went bust. Cremieux-Brilhac later told me that he left amid rumours of debts.

After that, Louis tried his hand at various ventures. He worked for several years for the Cocoa Marketing Board in Ghana on a cure for the swollen shoot disease that was decimating the cocoa crop – a cure he based on interpreting ancient Aztec remedies for the disease. He then ran a dry cleaners in West Drayton, Uxbridge, but the spread of laundrettes put paid to that scheme. He was also briefly and disastrously involved in setting up a West End nightclub with a certain Mr de Souza. Then he settled and became a diplomat at the French Embassy in London. The reckless amounts of aspirin he took for his shrapnel problem – chewing the stuff like sweets, combined with his chain-smoking Gauloises and Senior Service, probably contributed to his early death in 1963."

vermorel.blogspot.com 

Laloup Laurent le mercredi 29 avril 2009 - Demander un contact

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